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Match amical

Messi plus fort que le Portugal


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L'Argentin Lionel Messi (1,70 m) saute plus haut que le Portugais Cristiano Ronaldo du haut de son 1,86 m. Les deux stars du football européen ont régalé le public genevois en marquant des buts tous les deux.

Le Ballon d'or offre la victoire à l'Argentine au terme d'un match plaisant.
Mathieu Aeschmann - le 09 février 2011, 23h45
Le Matin
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Genève
Portugal - Argentine 1-2 (1-1)
Comme un symbole, Lionel Messi a offert hier soir un succès de prestige à l'Argentine. Sur penalty, dans les derniers instants d'un match de gala qui aura vu une équipe du Portugal prendre un départ fulgurant avant de s'effacer petit à petit devant la maîtrise argentine.
Car si Sergio Batista doit bénir le ciel de compter un extraterrestre comme Messi, Paulo Bento peut voir la vie en rose avec un milieu de terrain de cette qualité. Orchestré en position de No 6 par un Raul Mereiles impressionnant de volume, l'entrejeu portugais semble pouvoir créer de partout. Sur les côtés bien sûr avec Cristiano Ronaldo et Nani qui permutent énormément et contraignent les latéraux adverses à la plus grande vigilance. Mais aussi dans l'axe du terrain où Carlos Martins et Joao Moutinho font parler une technique individuelle bien au-dessus de la moyenne.
Le service de Messi
Et au quart d'heure, Lionel Messi en personne se chargea de rappeler cette inusable vérité à une défense portugaise jusque-là spectatrice. Après avoir échappé au tacle souvent rageur de Mereiles, le génial lutin du FC Barcelone piquait un délicieux ballon dans le dos de la défense portugaise. Plus rapide que Joao Pereira, Angel di Maria validait l'offrande du gauche.
Une première réussite qui ne coupa en rien l'élan d'une sélection portugaise logiquement récompensée cinq minutes plus tard des pieds de Cristiano Ronaldo qui réagissait plus promptement que Romero suite à une tête contrée d'Almeida. Plongé dans une douce euphorie, le Stade de Genève se prit alors à rêver d'un festival de buts. Il n'en fut rien. La faute d'abord à l'Argentine subitement redevenue cohérente tactiquement. Jusque-là invisible, Banega trouvait enfin sa place entre lignes adverses pour - avec l'aide de Cambiasso et d'un Messi très en retrait - mettre le pied sur le ballon et reprendre les clés de la rencontre. Du coup, l'Argentine aurait très bien pu rejoindre le thé avec un but d'avance si le «Napolitain» Lavezzi n'avait pas trop enlevé sa reprise au terme d'une superbe attaque placée.
Une heure de jeu pour Ronaldo
De cette première mi-temps enlevée, la seconde ne fut qu'une pâle copie. Malgré une entame prometteuse qui voyait Hugo Almeida chatouiller la barre transversale du but de Romero et Messi tester sur coup franc la vigilance de Rui Patricio, la partie baissa en intensité et gagna en agressivité. Peut-être pour éviter les blessures, Cristiano Ronaldo quitta Messi à l'heure de jeu. Et l'Argentine termina presque logiquement de manière plus cohérente. L'entrée de Javier Pastore apporta même ce petit supplément de talent qui aurait pu faire la différence. Mais l'artiste de Palerme manquait d'abord de froideur au moment d'ajuster le gardien portugais puis voyait sa tête repoussée par la latte à seulement cinq minutes du terme. Deux échecs effacés comme par magie par le penalty victorieux du roi Lionel que Sergio Batista eut la riche idée de ne jamais rappeler sur son banc.

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MATCH AMICAL

L'équipe de Suisse repart de zéro


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A l'image d'Alex Frei (qui a raté son penalty), l'équipe de Suisse n'a presque rien construit face aux Maltais. Leur gardien, Haber, exultait de joie avec ses deux arrêts de penalty.

Replongeant dans ses travers, le visiteur n'a pas su confirmer ses apparents progrès. Il a perdu Grichting (poignet cassé) et raté deux penalties! La pauvreté du jeu inquiète.
Nicolas Jacquier - le 09 février 2011, 22h45
Le Matin
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La Valette
Malte - Suisse 0-0
Bien sûr, personne ne peut augurer ce qui se passera le 26 mars en Bulgarie, mais partant du principe admis que le rendez-vous de Malte servait à préparer l'échéance de Sofia, on ne peut être qu'inquiet de ce que la Suisse y a présenté hier soir dans une parodie de match. Tant le visiteur ne s'est pas montré à son avantage, prenant un malin plaisir à remonter le temps jusqu'à revisiter le spectre de sa défaite contre le Luxembourg.
Heureusement, il réussit à éviter le pire et à limiter cette fois les dégâts. 0-0 à l'arrivée contre le matricule 163 du classement FIFA, c'est malgré tout une honte pour le visiteur, un immense exploit pour son hôte. Au lieu de jouer, la Suisse a cafouillé. Au lieu de s'accrocher à des certitudes, ses joueurs n'ont jamais trouvé un dénominateur commun. Ils devront montrer un autre visage dans six semaines; mais le peuvent-ils? Le doute est permis.
Pathétiquement baladée
Dans l'optique de la prolongation de son contrat, Ottmar Hitzfeld n'a pas marqué des points. A Malte, le visiteur a connu une première mi-temps calamiteuse. Au point de se faire balader par une bande d'amateurs de manière pathétique. A l'heure où le sélectionneur se plaît à mettre la pression sur ses dirigeants, on aurait aimé que ses joueurs insufflent la même pression sur la pelouse. Il n'en fut rien dans un exercice qui toucha à l'indigence.
Un malheur ne venant jamais seul, la Suisse allait encore perdre Grichting, victime d'une fracture de l'annuaire de la main droite. Très vite, quand Frei rata un penalty accordé pour une main de Caruana (un exercice dans lequel le capitaine avait déjà échoué contre l'Australie), on sentit que la soirée allait être pénible. Peu concernés par un match qui ne semblait pas les regarder, les Suisses n'ont pas été loin d'être ridiculisés durant 30?minutes.
Puzzle aux pièces manquantes
Il faudra même tout le talent de Benaglio - meilleur élément de son équipe - pour éviter le pire, le gardien sauvant plusieurs fois les siens. Incapable d'imposer ses idées et d'offrir un semblant de style à ses actions (mais en était-ce vraiment?), la Suisse ressemble aujourd'hui à un puzzle dont il manque plusieurs pièces, toujours les mêmes.
Il en résulte une pauvreté dans l'expression collective. Comme si, après l'embellie manifestée à la fin de l'année 2010, on devait de nouveau repartir de zéro. On avait laissé ses joueurs sur les promesses tardives de l'automne; on les a retrouvés nageant en plein désarroi.
Seul Dzemaili s'en tire
De tout ce que l'on espérait voir - une défense à son affaire, un style conquérant, l'affirmation d'un vrai patron, des attaquants qui marquent -, on n'a rien vu. Ou alors pas assez pour se rassurer. De fait, le visiteur n'a rien résolu de ses problèmes, ne trouvant pas les réponses qu'il était venu chercher au coeur de la Méditerranée. Aucun compartiment ne sort indemne de cette «générale» ratée.
Individuellement, seul Dzemaili échappa au naufrage collectif. Boudé par la réussite, Frei illustra cette déveine, à l'image de sa reprise filant aux étoiles (48e). La Suisse aurait pourtant pu sauver les apparences si elle avait au moins converti l'un des deux penalties, mais Inler, sur la deuxième tentative, trouva moyen d'imiter son capitaine. On prie pour qu'il n'y ait pas de penalty en Bulgarie.
Alors que Malte baissait logiquement pied, il y eut certes quelques timides occasions. Par Shaqiri, par Streller. 0-0 final. Au moment où la question du contrat du sélectionneur empoisonne l'atmosphère, il n'est pas interdit de se demander si Hitzfeld incarne toujours l'homme de la situation. Hier, celle de son équipe paraissait singulièrement désespérée.

Des POMMES, je le dit...........

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match amical

Benzema cloue le Brésil


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Benzema inscrit l'unique but à la 54e minute.

Les Français s'imposent face aux Brésiliens au Stade de France.
le 09 février 2011, 23h38
LeMatin.ch & les agences
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Paris
France - Brésil 1-0 (0-0)
Le Brésil, trahi par Hernanes, a cédé (1-0) face à l'équipe de France qui a signé sa cinquième victoire d'affilée dans cet amical qui n'a pas tenu toutes ses promesses hier au Stade de France. Hernanes s'est fait l'auteur d'un mauvais geste sur Benzema et a été exclu en fin de première période.
Au petit jeu de la reconstruction après une Coupe du monde 2010 ratée, l'entraîneur des Bleus Laurent Blanc s'en tire nettement mieux que son homologue brésilien Mano Menezes. Certes, le match a été faussé par l'exclusion d'Hernanes pour un mauvais geste sur Benzema digne de celui de Nigel De Jong en finale du Mondial 2010. Et qui s'est vengé en ouvrant le score à la 54e minute? Benzema évidemment...
Le beau jeu n'était pas au rendez-vous. Dans un message diffusé sur grand écran au Stade de France avant le match, Laurent Blanc lançait: «Qui va danser la samba ce soir? J'espère que ça va être les Français». Mais de samba il ne fut pas question et le match se révéla très laborieux.

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Clijsters à une victoire de la place de numéro 1 mondiale


© afp

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Kim Clijsters n'est plus qu'à une victoire de la place de numéro 1 mondiale. La lauréate de l'Open d'Australie s'est qualifiée mercredi soir pour les quarts de finale du tournoi de tennis en salle de Paris, une épreuve de la WTA dotée de 618.000 dollars. La Limbourgeoise a éliminé l'Allemande Kristina Barrois (29 ans/WTA 78). Il lui a fallu disputer trois manches avant de s'imposer: 4-6, 6-2 et 6-0 en 1h24.

Kristina Barrois a fait douter en début de rencontre la N.2 mondiale et tête de série N.1 dans la capitale française qu'elle rencontrait pour la première fois. Clijsters était menée 0-4 après 12 minutes. Elle combla un des deux breaks de retard (3-4), mais Barrois s'appuyant sur un bon service concluait la manche 4-6.

Dans le 2e set, la N.1 belge retrouva son service et son jeu puissant qui déborda Barrois. Menant 3-1, elle concéda toutefois encore un break (3-2) mais aligna ensuite trois jeux pour égaliser à une manche partout 6-2. Sur sa lancée, Kim en alignait six autres et concluait au plus vite.

En quarts de finale, Clijsters sera opposée à la gagnante du match qui doit opposer au 2e tour l'Australienne Jelena Dokic (WTA 120) et la lauréate de la partie jouée mercredi soir entre la Russe Nadia Petrova (WTA 20/N.5) et la Française Virginie Razzano (WTA 83). Si Kim Clijsters atteint le stade des demi-finales, elle retrouvera la place de numéro 1 mondiale qu'elle avait quitté le 19 mars 2006.

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La France s'offre le Brésil, l'Allemagne en échec contre l'Italie



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La France, contre un Brésil vite réduit à dix, s'est offert un succès de choix (1-0) mercredi en amical, pendant que l'Argentine de Messi dominait le Portugal de Cristiano Ronaldo (2-1) et que l'Allemagne concédait le nul face à l'Italie (1-1).

Après une victoire d'estime à Wembley contre l'Angleterre (2-1) en novembre dernier, les Bleus ont décroché un succès encore plus prestigieux contre la Seleçao au Stade de France, et ainsi confirmé que la reconstruction avance, en s'appuyant à nouveau sur un Karim Benzema buteur.

Discuté au Real Madrid où il peine à s'imposer, l'attaquant français a été omniprésent en attaque, se créant pléthore d'occasions, et une première fois décisif, en provoquant peu avant la mi-temps, l'exclusion de Hernanes, coupable d'un pied haut dangereux.

L'Allemagne, qui espérait prendre sa revanche contre l'Italie, cinq ans après avoir été éliminée en demi-finale de "son" Mondial par la Squadra Azzurra (0-2 a.p.), a dû se contenter du nul.

Sans Ballack, mais avec des jeunes (Götze, Schmelzer, Bender, Grosskreutz et Hummels) empruntés à Dortmund, leader de la Bundesliga, la Mannschaft a d'abord ouvert le score par Klose. Mais les Italiens, avec Buffon de retour après sept mois d'absence, et grâce à Rossi en fin de match, ont refroidi l'ambiance dans le Westfallenstadion.

A Genève, L'Argentine est finalement venu à bout du Portugal (2-1) au terme d'un match de bon niveau marqué par le duel qui a tenu ses promesses entre Cristiano Ronaldo, le Madrilène, et Lionel Messi, le Barcelonais, qui a donné la victoire sur penalty à l'Albiceleste.

Messi, incisif, avait déjà offert le premier but à Di Maria après un festival de dribbles, quand Ronaldo parvenait à égaliser de façon opportuniste peu après.

L'Angleterre, quant à elle, a ramené une victoire (2-1) de Copenhague contre le Danemark. En l'absence notamment de Gerrard (mollet) et Ferdinand (adducteurs), le jeune milieu d'Arsenal Jack Wilshere faisait ses grands débuts.

Mais c'est Christian Eriksen, grand espoir du football danois, qui a été à l'origine du premier but inscrit par Agger (8e). Bent, après un beau travail de Walcott, a évité aux Anglais de gamberger en égalisant deux minutes plus tard, avant que Young n'assure la victoire anglaise en seconde période.

Privés de Van Persie, Van der Vaart et De Jong, les Pays-Bas ont, eux, pu compter sur leur stratège Wesley Sneijder pour s'ouvrir la voie d'un succès logique contre l'Autriche (3-1). Le milieu de l'Inter Milan a ouvert le score à la demi-heure de jeu, avant que Huntelaar puis Kuyt sur penalty n'ajoutent deux buts aux vice-champions du monde en titre.

Enfin, si le score fleuve est à l'actif de la Croatie, vainqueur de la République Tchèque (4-2), la soirée a également été marquée par une énorme surprise, avec la défaite (1-0) à Abou Dhabi de la Russie contre l'Iran, modeste 44e nation FIFA.

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Un maillot de Trezeguet détruit par les douanes


Un collectionneur ayant déboursé plus de 7.000 euros pour le maillot porté par David Trezeguet lors de la finale France/Brésil de la Coupe du monde 1998 a vu son colis détruit par les douanes, soupçonnant une contrefaçon, selon le quotidien régional Le Dauphiné Libéré mercredi.

Cet habitant d'Annemasse, en Haute-Savoie, avait acheté le maillot à un Brésilien via un site internet spécialisé dans la vente d'occasion. Mais, lorsqu'il s'est présenté en novembre dernier pour récupérer le colis, La Poste lui a expliqué que le maillot avait été détruit pour contrefaçon par les douaniers.

"J'étais fou", raconte le collectionneur, qui pleure aujourd'hui "la pièce ultime de sa collection". Il avait obtenu le maillot contre la somme de 7.350 euros et l'échange de deux maillots de sa collection estimés à 4.000 euros.

"Un maillot d'une telle valeur aurait dû faire l'objet d'une déclaration de douane, ce qui n'a pas été fait", a expliqué à l'AFP le directeur régional des douanes, Jean-Paul Balzamo, précisant que le maillot présentait "des coutures de très mauvaise qualité".

"De plus, aucune adresse de destinataire ne figurait sur le carton d'emballage", a-t-il ajouté. (afp)

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Ferrari, poursuivi par Ford, change le nom de sa F1


Publié le 10.02.2011, 17h20


Ferrari, contre qui le constructeur américain Ford a porté plainte devant un tribunal de Detroit, a changé le nom de sa F1 pour 2011, rebaptisée F150e Italia, et non F150, qui rappelait le nom d'un pick-up Ford à succès, le F-150. "Pour montrer sa bonne foi et que ses actes sont complètement corrects, Ferrari a décidé d'assurer que, dans tous les secteurs d'opération, la version abrégée (du nom de sa F1) sera remplacée par la version intégrale, celui de Ferrari F-150e Italia", a fait savoir la Scuderia, indiquant "avoir beaucoup de difficultés à comprendre le point de vue de Ford".

"La désignation F150 n'a jamais été, et ne sera jamais utilisée pour un produit disponible à l'achat. Il n'y aura assurément aucun cycle de production de monoplaces", a ironisé l'entreprise basée à Maranello (Italie), appartenant à Fiat, qui est allié à Chrysler, concurrent de Ford.

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Kostelic zappe la descente

(Sport24.com)
10/02/2011 |
Médaillé de bronze mercredi en Super G, Ivica Kostelic rentre en Croatie pour s'entraîner. Le leader de la Coupe du Monde a décidé de ne pas s'aligner sur la descente samedi ni sur le super-combiné lundi, où il était le grand favori, rapporte Skichrono. Le Croate privilégie le géant et le slalom.

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Rafael Nadal > De retour à l'entraînement

Par Marion Chervy, jeudi 10 février 2011 à 14:20
Rafael Nadal a annoncé via son site officiel qu'il avait repris l'entraînement depuis mardi. Après dix jours de repos, l'Espagnol s'entraîne chez lui à Manacor et espère recupérer à 100%. Objectif: la Coupe Davis début mars contre la Belgique.

"Je me sens plutôt bien. Les sensations sont bonnes. Il me reste deux semaines et demie pour bien récupérer. L'important, c'est de commencer lentement afin qu’il n’y ait pas de rechute".

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FORMULE 1

Kubica est sorti des soins intensifs


Image © EPA
Robert Kubica dans une voiture de rallye

Le pilote Lotus Renault, gravement blessé lors d’un rallye italien, a quitté le service des soins intensifs et sera opéré à nouveau vendredi.
le 10 février 2011, 15h57
LeMatin.ch & les agences
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"La condition du pilote Robert Kubica s’est améliorée, ce qui a rendu possible son transfert du service de soins intensifs à celui d’orthopédie", a fait savoir l’hôpital dans un communiqué, selon lequel "l’opération chirurgicale prévue vendredi sur l’humérus et le pied paraît en ce moment confirmée".
Le Polonais doit également être opéré du coude, ce qui pourrait se faire vendredi. "Mais rien n’est dit. Le plus sûr, c’est l’humérus et le pied vendredi. Le coude c’est moins sûr", a indiqué à l’AFP le docteur Roberto Carrozzino, l’un des responsables de l’hôpital.
La troisième intervention - du coude -, après celle en urgence dimanche et la seconde prévue vendredi, pourrait alors se dérouler lundi, dès que le patient Kubica pourra la tolérer, selon ce médecin.
Convalescence
Une évaluation de la durée de sa convalescence pourra être réalisée "deux à trois semaines" après sa dernière opération, a estimé le docteur Carrozzino.
Robert Kubica s’est accidenté au rallye Ronde di Andora, près de Gênes, dimanche matin. Sa voiture s’est encastrée dans un rail de sécurité, lui causant des fractures du bras et de la jambe droite et lui sectionnant presque la main. Il a été opéré pendant sept heures dimanche.
Son état de santé progresse constamment depuis lors, selon les médecins qui le suivent.

Bonne nouvelle entre ( )