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ligue des champions marseille

Que quatre tirs cadrés


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Peu d'occasions. Tout se jouera à Old Trafford.
le 23 février 2011, 23h19
LeMatin.ch & les agences
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Marseille et Manchester United n'ont pas réussi à se départager (0-0), en match aller des 8es de finale. Au cours de cette rencontre, seuls quatre tirs cadrés ont été dénombrés.
Si ce match n'a pas atteint des sommets, il a eu le mérite de perpétuer les incroyables séries en cours de ces deux formations sur le front européen. L'OM n'a pas encaissé de but depuis 512?minutes, tandis que ManU n'a cédé qu'une seule fois depuis son entrée en lice: but de Pablo Hernandez pour Valence (1-1) le 7 décembre dernier.
Lors de la première heure, les protégés de Didier Deschamps ne se sont montrés dangereux que sur un corner direct d'André Ayew (41e) et une tête de Brandao pas assez appuyée (54e). Ayew manquait encore la meilleure opportunité phocéenne à la 63e.
Les Anglais ont quant à eux montré leur visage européen habituel. Hormis un tir de Fletcher après huit minutes, sur lequel Mandanda s'est bien couché, et quelques raids solitaires de Nani, les Red Devils n'ont rien fait pour mériter la victoire.
Les deux formations devront donc se départager lors du match retour, à Old Trafford.











LA RENCONTRE

Stade Vélodrome. 58 000 spectateurs. Arbitre: Felix Brych (All).
Marseille: Mandanda; Fanni, Diawara, Mbia, Heinze; Kaboré, Cissé (70e Cheyrou); André Ayew, Lucho Gonzalez, Rémy (79e Valbuena); Brandao.
Manchester United: O’Shea, Smalling, Vidic, Evra; Carrick; Rooney, Gibson
(73e Scholes), Fletcher, Nani; Berbatov.

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ligue des champions milan

Le Bayern se venge


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Finalistes malheureux l'an dernier face à l'Inter, les Allemands ont pris leur revanche en s'imposant à San Siro.
le 23 février 2011, 23h13
LeMatin.ch & les agences
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INTER MILAN - BAYERN MUNICH 0-1 (0-0)
Le Bayern Munich peut savourer sa revanche. Victorieux 1-0 à San Siro, les Bavarois ont rendu la monnaie de leur pièce à l'Inter. Cette victoire acquise à la 90e sur une réussite de Gomez fait oublier aux Bavarois l'échec du 22 mai dernier avec cette défaite 2-0 en finale à Madrid sur un doublé de Milito. Il leur reste à transformer l'essai au match retour le 15 mars dans leur fief de l'Allianz Arena.
Le Bayern peut envisager ce match retour en toute confiance. Le résultat de San Siro le place en situation idéale. La présence dans ses rangs d'Arjen Robben lui confère, par ailleurs, un atout incomparable. Le Néerlandais est vraiment un joueur d'exception. C'est lui qui est à l'origine du but de Gomez avec une frappe que Julio César n'a pu que relâcher.
Sous l'impulsion de ce diable Robben, le Bayern, qui a touché deux fois du bois avant de marquer, a dominé ce match aller. Seulement, les Bavarois ont longtemps buté sur une défense milanaise parfaitement dirigée par Lucio. Face à ses anciens coéquipiers, le Brésilien a sorti le grand jeu. Il fut le meilleur élément de l'Inter avec Eto'o.
Les Milanais ont souffert de la contre-performance de Sneijder. Homme-clé de la conquête de la Ligue des champions l'an dernier avec Milito, le Néerlandais n'a pas tenu la comparaison avec Robben. On lui a même préféré en fin de match le Marocain Kharja.















LA RENCONTRE

San Siro. 80 000 spectateurs.
Arbitre: M. Kassai (Hon).
But: 90e Gomez 0-1.
Inter Milan: Julio César; Maicon, Ranocchia (73e Kharja), Lucio, Chivu; Zanetti, Thiago Motta, Cambiasso; Sneijder, Stankovic; Eto’o.
Bayern Munich: Kraft; Lahm, Tymoshchuk, Badstuber, Luiz Gustavo; Schweinsteiger, Pranjic (38e Breno); Robben, Müller, Ribéry; Gomez.
Notes: 24e tête de Ribéry sur la transversale. 53e tir de Robben sur le poteau.
Avertissements: 21e Zanetti. 34e Ribéry. 56e Sneijder. 86e Thiago Motta et Luiz Gustavo.

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SKI NORDIQUE

La Suisse compte sur Ammann et Cologna à Holmenkollen


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Simon Ammann et Dario Cologna.

Sur le site mythique au-dessus d'Oslo, Dario Cologna et Simon Ammann sont les meilleures chances de médailles suisses dans les championnats du monde qui commencent aujourd'hui.
Bernard Morel - le 23 février 2011, 22h50
Le Matin
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Dans l'histoire du ski suisse, ce n'est pas arrivé souvent que le ski nordique rapporte davantage de médailles que le ski alpin. Lors des Mondiaux de 1966, Aloïs Kälin avait remporté la médaille de bronze du combiné nordique alors que les skieurs alpins n'avaient rien obtenu sur la neige chilienne de Portillo. Trente-six ans plus tard, lors des JO de Salt Lake City, avec deux médailles d'or (Simon Ammann) et une de bronze (relais féminin 4×5km), le ski nordique avait fait mieux que l'alpin (médaille de bronze de Sonja Nef dans le géant).
L'histoire pourrait se répéter en cette année 2011 après la maigre récolte alpine à Garmisch. Sur le site mythique de Holmenkollen, au-dessus d'Oslo, où les Mondiaux commencent aujourd'hui avec les épreuves de sprint, la Suisse dispose de deux atouts majeurs dans la course aux médailles: Dario Cologna (ski de fond) et Simon Ammann (saut à skis). Dans leurs disciplines respectives, le Grison et le Saint-Gallois occupent le devant de la scène et font partie des grands favoris. Le rôle n'est pas forcément simple à assumer, mais les deux athlètes disposent d'un tel potentiel qu'ils peuvent faire davantage que rêver de podium.

L'HOMME DES GRANDS RENDEZ-VOUS: SIMON AMMANN
Ses atouts
Dans la génération actuelle des sauteurs, qui mieux que Simon Ammann peut personnifier l'homme des grands rendez-vous? Avec ses quatre titres olympiques - à Salt Lake City et à Vancouver - son titre mondial (grand tremplin) et sa médaille d'argent (petit tremplin) à Sapporo ainsi que sa médaille de bronze (petit tremplin) à Liberec, le Saint-Gallois a montré sa capacité à se sublimer dans les grandes occasions. Ce ne sera pas son moindre atout dans les deux concours de samedi (petit tremplin) et du jeudi 3 mars (grand tremplin). De plus, il connaît bien Holmenkollen et l'endroit lui convient bien.
Il s'y est déjà imposé à trois reprises, en 2002 et en 2007 sur l'ancien tremplin et en 2010 pour le concours qui inaugurait le nouveau tremplin. «C'est toujours une grande émotion de se retrouver au sommet des tremplins de Holmenkollen, dans ce lieu chargé d'histoire», relève Simon Ammann. Il ajoute qu'une médaille, quelle que soit la couleur, serait déjà satisfaisante.
Ses failles
Cette année, Simon Ammann n'offre pas cette même image d'invincibilité qu'il y a un an avant les JO de Vancouver. Il a fait preuve d'une impressionnante régularité - une fois au-delà de la 10e place en Coupe du monde - mais n'a gagné qu'à deux reprises, à Garmisch et à Zakopane.
Il n'a que rarement réussi, dans un concours, à faire deux sauts de même qualité. Il a eu plus de peine à trouver la stabilité au moment du décollage.
Ses adversaires
On pense en premier lieu à Thomas Morgenstern. Vainqueur de la Tournée des Quatre-Tremplins et déjà assuré de remporter la Coupe du monde, il est cependant apparu un peu en retrait lors des derniers concours. L'Autrichien qui monte, c'est Gregor Schlierenzauer. Blessé en début de saison, il a montré qu'il avait retrouvé son meilleur niveau en s'imposant deux fois sur le tremplin de vol à skis de Vikersund. L'inusable Adam Malysz et les Norvégiens seront également très attendus.

LE SKIEUR LE PLUS COMPLET: DARIO COLOGNA
Ses atouts
Dario Cologna, c'est le skieur pour ainsi dire sans défauts.
Quel que soit le spécialiste qu'on interroge, la réponse est presque invariablement la même: «Dario, il a tout.» Autrement dit, un très gros moteur, une technique sur les skis qui frôle la perfection tant en skating qu'en classique, un grand sens tactique. Depuis 2008, il a confirmé qu'il était un fondeur d'exception: vainqueur du Tour de ski et du classement général de la Coupe du monde en 2009, champion olympique du 15 km à Vancouver en 2010, vainqueur du Tour de ski et actuel leader de la Coupe du monde cet hiver. «Par rapport aux Mondiaux de 2009 à Liberec, j'ai progressé, notamment en style classique, souligne-t-il. J'aborde donc ces compétitions dans de meilleures dispositions qu'il y a deux ans.»
Ses failles
Dario Cologna est le skieur le plus complet, il peut rêver d'une médaille dans les quatre épreuves individuelles auxquelles il va participer - le sprint aujourd'hui, la poursuite de dimanche, le 15 km de mardi prochain et le 50 km du dimanche 6 mars. Mais, dans chaque course, il trouvera peut-être plus fort que lui. En langage cycliste, on dirait de lui qu'il est davantage un spécialiste des courses par étapes que pour les rendez-vous d'un jour. Hors Tour de ski, il ne compte que trois victoires en Coupe du monde.
Ses adversaires
En tête de liste, Petter Northug, le rival norvégien, capable comme Cologna d'aller chercher une médaille dans les quatre épreuves individuelles. Dans une arrivée au sprint, Northug a un petit avantage sur Cologna. Le Suédois Emil Jönsson sera redoutable en sprint, son compatriote Daniel Rickardsson dans le 15 km classique de mardi prochain.
Sur les autres courses de distance, le Tchèque Lukas Bauer, les Français Jean-Marc Gaillard et Maurice Magnificat, le Russe Alexander Legkov, le Suédois Marcus Hellner, pour n'en citer que quelques-uns, ont de quoi poser des problèmes au Suisse.

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atp 500 dubaï

Federer atteint les quarts de finale sans forcer


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Le numéro deux mondial n'a pas eu à trop jouer de son talent hier à Dubaï.

Le Bâlois atteint les quarts de finale à Dubaï en battant Marcel Granollers 6-3 6-4.
le 23 février 2011, 23h05
LeMatin.ch & les agences
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Contrairement à Novak Djokovic qui a concédé un set devant Feliciano Lopez (ATP 41), Roger Federer n'a rencontré aucune difficulté pour se hisser en quarts de finale du tournoi ATP 500 de Dubaï. Il s'est imposé 6-3 6-4 devant Marcel Granollers (ATP 53).
Face à un adversaire qu'il rencontrait pour la première fois, le Bâlois s'est contenté de réussir deux breaks pour signer une victoire sans histoire. Il pouvait ravir une première fois l'engagement du Catalan au quatrième jeu sur sa quatrième balle de break. Granollers concédait un second break d'entrée de jeu dans la seconde manche sur une double faute.
Aujourd'hui, Roger Federer croisera la route d'un adversaire méconnu, l'Ukrainien Sergiy Stakhovsky (ATP 43), mais très talentueux. Stakhovsky s'est imposé 6-3 5-7 6-1 contre le Letton Ernests Gulbis (ATP 24) pour obtenir le droit d'affronter pour la première fois l'homme aux seize titres de Grand Chelem. Né à Kiev mais vivant à Bratislava, l'Ukrainien a remporté deux tournois en 2010, sur le gazon de Bois-le-Duc et sur le decoturf de New Haven.
«Je n'avais jamais joué contre Devvarman et contre Granollers, mes deux premiers adversaires. Jeudi, je rencontre de nouveau un joueur contre lequel je n'ai encore jamais joué. C'est pourquoi ce tournoi de Dubaï est vraiment un tournoi intéressant pour moi», souligne Roger Federer. Le Bâlois possède une qualité rare en tennis: il respecte n'importe quel adversaire. Il ne tombe jamais dans l'excès de confiance. Il abordera ainsi son quart de finale contre Stakhovsky avec un très grand sérieux. Une victoire face à l'Urkrainien lui offrira une demi-finale contre un Français, Gilles Simon (ATP 26) ou Richard Gasquet (ATP 28). Là, il sera en terrain connu.

Stanislas Wawrinka se rassure
Stanislas Wawrinka s'est qualifié pour les huitièmes de finale du tournoi ATP 500 d'Acapulco. Le Vaudois a battu 7-6 (7/5) 3-6 6-0 l'Espagnol Pablo Andujar.
Trois jours après sa défaite en demi-finale du tournoi de Buenos Aires, Stanislas Wawrinka a parfaitement rebondi au Mexique. Touché à la cuisse en Argentine, il a apparemment retrouvé la plénitude de ses moyens pour écarter un adversaire, 67e mondial, que l'on peut qualifier de dangereux sur terre battue.
Le Valencien ne méritait ainsi pas de perdre 6-0 la dernière manche dans la mesure où il s'est procuré cinq balles de break dans ce set.
Après cette night session de mardi, Stanislas Wawrinka est retourné sur le court hier à 15h (22h en Suisse). Il était opposé à l'Italien Fabio Fognini (ATP 56) qu'il a battu l'an dernier 6-3 6-4 6-1 en seizième de finalede Roland-Garros pour leur seule confrontation à ce jour.

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Deschamps: "Fier de mes joueurs"

Réaliste et lucide quant au rapport de forces qui subsiste entre son OM et Manchester United, Didier Deschamps n'en salue pas moins la performance de ses joueurs, ce mercredi soir, à l'issue du huitième de finale aller de Ligue des champions joué entre les deux équipes au Vélodrome. "Ça reste ouvert", juge l'entraîneur des Olympiens, même s'il sait que "ce sera une autre musique" à Old Trafford.




Didier comment analysez-vous ce résultat nul ?
50% du chemin a été fait. Ne pas prendre de but, c'est très important dans une double confrontation. La première période était fermée, avec des équipes bien en place. Nous avons eu peu d'opportunités. Puis après la mi-temps, on a eu une très bonne période de 20, 25 minutes, avec quelques situations mais sans grosse occasion. A ce moment, on aurait peut-être dû appuyer dans le camp adverse pour marquer. Ensuite, la fin de match a été difficile en raison des efforts effectués auparavant. C'est bien d'être resté solide jusqu'au bout. Le match retour va être compliqué et il faudra maintenir cette solidité.

Vous attendiez-vous à un match si fermé, avec peu d'engagement ?
Il n'y a pas eu énormément de fautes, mais il y a eu de l'impact physique. Ferguson a choisi de mettre en place un milieu très travailleur, dans le but notamment de limiter le champ d'action de Lucho. Il y a eu beaucoup d'intensité. C'est le haut niveau. On a su bien maîtriser ces attaquants de grande qualité. Les joueurs de Manchester ont aussi fait beaucoup d'efforts. C'était un match fermé qui aurait pu se jouer sur des détails. Mais je suis fier de ce que mes joueurs ont réalisé. Ils ont été à la hauteur de l'événement. Dans trois semaines, ce sera une autre musique. Il faudra y aller sans crainte, avec la même conviction que ce soir.

Ce 0-0 offre des perspectives intéressantes...
Oui, ça maintient notre espoir. Prendre un but à domicile complique le retour. La qualification se joue sur quatre mi-temps et on a bien négocié les deux premières. A domicile, Manchester voudra mettre beaucoup de pression. C'est une grande équipe, qui récupérera des joueurs dans trois semaines. Ça reste ouvert et on a toujours nos chances.

"J'ai la confirmation que Manchester est une grande équipe"

André Ayew a été performant, comme Loïc Rémy en seconde période. Aviez-vous demandé d'insister sur les ailes ?
Manchester possède un jeu performant dans les couloirs. Une de nos options était de percuter sur les côtés pour provoquer des un contre un. Sauf que quand les latéraux adverses montent beaucoup, cela demande plus d'efforts à nos ailiers. "Dédé" et Loïc ont dû s'employer à garder l'équipe compacte.

Qu'est-ce que vous avez trouvé le plus satisfaisant ?
La solidité défensive. C'était très important face à la qualité des attaquants. On a pêché dans la première transmission, dans cette volonté de chercher une solution dans la verticalité. On a eu le ballon, mais on ne s'est pas montré dangereux dans les 30 derniers mètres. C'est de la justesse technique sur les centres ou lors des petits décalages. Mais vu le bloc compact en face, la marge d'erreur était importante car il n'y avait pas beaucoup de temps et d'espaces.

Avoir su contenir Rooney ou Nani va-t-il donner plus de confiance à vos défenseurs ?
Forcément. On a affronté des joueurs expérimentés, habitués à jouer la Ligue des champions. Se mesurer à des attaquants de haut niveau, cela donne plus de confiance. Pour les jeunes et les moins jeunes.

Manchester United reste-t-il favori ?
Oui, car c'est un bon résultat pour eux. Dans leur stade, ils mettront beaucoup de pression. D'ailleurs, ils sont certainement plus efficaces à domicile. J'ai la confirmation que c'est une grande équipe, réaliste, efficace, qui sait ne pas prendre de risque quand il ne faut pas en prendre.

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Are-Descente (D): Paerson devant à l'entraînement

Sur sa piste d'Are, Anjan Paerson a réalisé ce mercredi le meilleur temps du premier entraînement de la descente, prévue samedi. La Suédoise a devancé l'Américaine Lindsey Vonn et l'Allemande Maria Riesch. La première Française, Ingrid Jacquemod, a réalisé le huitième chrono. Après le deuxième entraînement jeudi, le super-combiné se tiendra vendredi. Il sera cette fois composé d'un Super-G et d'un slalom. Tessa Worley s'y engagera avant de participer au Super-G dimanche.

Newsweb.

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ski nordique

Mondiaux d'Oslo: déception pour Cologna et Jäger


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Dario Cologna a hérité d'une série très difficile.

Dans l’épreuve du sprint, le Grison et le Saint-Gallois ont échoué au stade des demi-finales. Hellner chez les hommes et Björgen chez les dames couronnés.
Bernard Morel/Oslo - le 24 février 2011, 16h22
LeMatin.ch & les agences
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Dans cette première épreuve des championnats du monde, le sprint, les Suisses n’ont pas réussi les résultats espérés, tout particulièrement Dario Cologna. Sans être le plus grand favori, le leader de la Coupe du monde espérait avoir son mot à dire dans la lutte pour les médailles. S’il a passé sans encombre la qualification et les quarts de finale, il a échoué au stade des demi-finales, ne terminant que cinquième de sa série, il est vrai relevée avec notamment la présence des Norvégiens Northug et Hattestad. Cologna, en fait, a pris un mauvais départ et l’a payé cher. Il n’est jamais parvenu à se faire une place pour revenir en tête.
Martin Jäger, lui, a été très malchanceux puisqu’un de ses bâtons s’est brisé au moment de l’emballage final dans la deuxième demi-finales. Autant dire qu’il n’avait plus alors la moindre chance. Dommage pour ce Saint-Gallois de 24 ans qui avait surpris tout le monde en réalisant le troisième temps de la qualification et en remportant sa série de quarts de finale.
Quant à Silvana Bucher, chez les dames, elle n’est pas parvenue à franchir le cap des quarts de finale.
Le public norvégien a eu l’occasion de vibrer en voyant sa grande favorite, Marit Björgen, l’emporter chez les dames. Du côté masculin en revanche, Petter Northug a trouvé meilleur que lui en la personne du Suédois Marcus Hellner.

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SKI ALPIN

Le casque de Didier Cuche vendu pour
15'152 fr.


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Didier Cuche

C'est Didier Cuche lui-même qui l'annonce sur sa page Facebook: "Hier s'est terminé la mise aux enchères de mon casque de descente de Garmisch. Incroyable mais vrai, une personne a misé 15'152 fr. sur Ricardo pour acquérir mon casque. J'en suis moi-même impressionné..."
le 24 février 2011, 10h54
LeMatin.ch
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"Au nom de l'Association Porte-Bonheur et de la relève du ski, j'adresse un grand merci à l'heureux acquéreur" poursuit le vice-champion du monde de descente sur sa page officielle.

C'est pour une bonne cause.

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SKI NORDIQUE

Ce n’est pas grave, mais frustrant


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Dario Cologna (à g.) est battu d’un rien par le Suédois Jesper Modin, échouant à la 5e place de sa demi-finale. Mais c’est au début de la course que le Grison a perdu son ticket pour la finale.

Eliminé en demi-finales, Dario Cologna n’est pas parvenu à se mêler à la lutte pour les médailles dans l’épreuve du sprint. Malchance pour Martin Jäger qui a vu un de ses bâtons se briser en demi-finale.
Bernard Morel - le 24 février 2011, 22h11
Le Matin
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Championnats du monde à Oslo
Cela aurait pu être une belle fête avec deux Suisses dans la finale des six meilleurs. Tant dans la qualification qu’en quarts de finale, Dario Cologna et le surprenant Martin Jäger avaient laissé une excellente impression. Mais les circonstances n’ont pas joué en faveur du Grison et du Saint-Gallois, qui se sont retrouvés éliminés l’un et l’autre au stade des demi-finales. C’est en spectateurs qu’ils ont pu voir le Suédois Marcus Hellner dominer le favori du peuple norvégien, Petter Northug.
Dario Cologna a donc dû laisser la vedette à ses deux grands rivaux suédois et norvégien. En soi ce n’est pas grave, mais frustrant. Cette saison, dans les sprints disputés en skating, il avait terminé à deux reprises sur le podium. «Il ne m’a pas manqué grand-chose pour me qualifier pour la finale», relevait, la mine déçue, le skieur grison. Et d’apporter une explication à cet échec: «J’ai pris un très mauvais départ dans cette demi-finale et cela m’a coûté cher au final. Après quelques mètres, j’étais un peu en retard et j’ai vu comme une porte se fermer devant moi avec Northug et Hattestad qui me passaient devant. J’ai bien tenté de revenir, mais je n’ai pratiquement jamais réussi à améliorer ma position. Dans le final, au moment où je faisais le forcing, Kummel a passé sur mon ski. Et, sur la ligne, c’est lui qui me précède de quelques centimètres pour une place en finale.»
Jouer des coudes et des bâtons
Ainsi va la vie du sprint, où il faut savoir jouer des coudes et des bâtons pour prendre le meilleur. Dans cette demi-finale particulièrement relevée avec Hattestad, Northug et Modin, il aurait fallu un Cologna au meilleur de sa condition pour imposer sa place. Or ce n’était visiblement pas Super Dario. Le Grison ne veut pas pour autant prendre pour un mauvais présage le résultat d’hier. «Je suis en bonne forme et je suis convaincu de pouvoir décrocher une médaille dans une des prochaines courses», assurait-il.
On s’est demandé si la surprise n’allait pas venir de Martin Jäger. Ce Saint-Gallois de 23 ans avait déjà étonné son monde en janvier à Rybinsk en terminant au quatrième rang du sprint. Hier, il a confirmé avoir un potentiel certain pour la discipline. Troisième temps de la qualification, il a remporté son quart de finale et semblait avoir son mot à dire dans la demi-finale lorsque son bâton gauche s’est brisé au contact d’un ski d’un adversaire. Il en a immédiatement reçu un, mais il n’a jamais pu combler totalement les quelques mètres concédés dans l’aventure. «C’est vraiment pas de chance, regrettait-il. J’étais dans un si bon jour.»

INTERVIEW
Frederik Aukland, entraîneur de Dario Cologna:
«Cologna sera meilleur dans les courses de distance»
Frederik Aukland, comment jugez-vous la performance de Dario Cologna?
Dario a de quoi être déçu, c’est sûr. Il a pris un très mauvais départ et n’a jamais pu revenir. C’est difficile d’expliquer pourquoi ça s’est passé ainsi. Il a montré dans la qualification et en quarts de finale qu’il était dans un bon jour, mais ce n’était certainement pas un jour optimal.
Pensez-vous que le fait de n’avoir disputé qu’une course de haut niveau depuis un mois et demi a pu jouer contre lui?
Non, en aucune manière. On pourrait éventuellement évoquer ça pour une course de distance. Mais le sprint est une épreuve assez particulière et le manque de compétition n’a joué aucun rôle.
Restez-vous optimiste pour la suite des Mondiaux de Cologna?
Totalement. Dans le sprint, une médaille n’était pas forcément impossible à aller chercher pour Dario, mais ce n’était pas l’épreuve dans laquelle il avait le plus de chances. Il aura davantage son mot à dire dans les prochaines courses, la poursuite, le 15 km classique et le 50 km. Il est en très bonne forme.
B. M.

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VOILE

Cyclone au programme


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A la barre de «Mirabaud», Wavre fait face à une mer désordonnée.

Après être restés scotchés dans une zone sans vents au large de Wellington, Wavre et Paret attaquent l’océan Pacifique à la cinquième place. Un cyclone tropical s’invite dans la course.
Jean-Guy Python - le 24 février 2011, 22h02
Le Matin
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Barcelona World Race Pacifique Sud
Toujours au contact du groupe des poursuivants, «Mirabaud» taille sa route un peu au nord des cinquantièmes hurlants, au sud-est de la Nouvelle-Zélande. Le couple de marins suisses – Dominique Wavre et Michèle Paret – a parfaitement attaqué le Pacifique. Il pourra mettre le clignotant à gauche dans près de 8000 km, doubler le cap Horn et entamer la remontée de l’Atlantique.
Atteint au téléphone de bord mercredi à 23 heures (heure locale), le skipper genevois accordait toute son attention à un cyclone tropical qui va croiser sa route dans les prochaines heures: «Actuellement, je surveille la trajectoire du cyclone «Atu» sur les écrans de bord. Il va très probablement passer à 200 milles derrière nous et nous allons avoir du vent très fort (50 nœuds). On ne sera pas dans la partie la plus dangereuse. Mais avec les vents puissants que le phénomène génère, associés à une mer désordonnée, il faut rester vigilants.»
Attaquer le Pacifique n’est pas une mince affaire. Même si le couple de navigateurs se bat pour rester dans le groupe des chasseurs, la course semble bien dessinée. En tête, le duo Dick-Peyron a 1200 milles (1900 km) d’avance sur «Mirabaud». Revenir sur les premiers apparaît un peu aléatoire et Dominique Wavre est clair: «On a plus de 1000 milles de retard sur «Virbac-Paprec 3» et «Mapfre». Ces deux bateaux ont pris une avance décisive pour les dix prochains jours. On navigue dans deux systèmes météo différents et le cyclone va perturber l’endroit où on se trouve. Honnêtement, je ne vois pas comment revenir rapidement sur la tête de la course. Mais, derrière, la bagarre va être intense.»
Vers la troisième place?
A croire que le Genevois vise une troisième place? «Avec notre position actuelle et le système météo dans lequel on évolue, la place de troisième est envisageable. Notre route est aussi balisée par les fameuses portes de sécurité (parcours imposé) établies dans le Pacifique Sud pour éviter les icebergs. Avec ces trajets un peu loufoques, on n’est pas toujours dans les bons trains de dépressions. On va tout faire pour viser cette troisième place et on jette tout dans la bagarre, c’est évident.»