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[Mattia75]

Ah ba dis donc je savais pas ça!!

[Norton]

Justine regoûte à la victoire et reste invaincue à Dubaï

7SUR7 UPDATE
Notre compatriote Justine Henin s'est imposée ce samedi en finale du tournoi de Dubaï face à la Française Amélie Mauresmo, en deux sets, 6-4, 7-5, l'emportant en 1h41 de jeu. Justine reste invaincue dans le tournoi des Emirats, où elle signe sa 4e victoire finale (après 2003, 2004 et 2006), la première de la saison et la 30e de sa carrière. Si le score ne le dit pas de façon évidente, la Monégasque d'adoption, numéro 2 mondiale et 1re tête de série, a toujours été supérieure à Amélie (WTA-3, No2), même si la Française a élevé son niveau de jeu dans la seconde manche.

Réussissant le break d'entrée de jeu, Henin a rapidement mené 4 jeux à 1 dans la première manche avant de voir la Française, victorieuse dimanche dernier du tournoi d'Anvers, s'installer dans la partie pour recoller à 4 jeux à 3. La Belge conservait malgré tout un break d'avance pour s'adjuger la première manche 6 jeux à 4, en 47 minutes.

Après avoir dû sauver deux balles de break à 0-1, Henin est parvenue à résister aux assauts de Mauresmo dans la seconde manche. Le bras de fer entre les deux joueuses a perduré jusqu'à 5 partout. La Française fut la première à craquer permettant à Henin de lui prendre son service et de conclure à 7-5 au bout d'1h41 de jeu.

[Norton]

Ronaldo offre la victoire à Manchester in extremis


Manchester United a poursuivi sa marche en avant vers la conquête du titre de champion d'Angleterre en allant battre Fulham à Londres (2-1), grâce à un exploit in extremis de son prodige portugais Cristiano Ronaldo, samedi, pour débuter la 28e journée.

9 points d'avance
A Craven Cottage, Cristiano Ronaldo a donné l'avantage aux siens à deux minutes de la fin du temps réglementaire, permettant aux joueurs de Sir Alex Ferguson de porter à 9 points leur avance sur Chelsea, qui affronte Arsenal dimanche en finale de la Coupe de la Ligue. Le Portugais grimpe ainsi à 16 buts, juste derrière l'Ivoirien de Chelsea Didier Drogba, en tête du classement des buteurs de la Premier League.

Transversale
Auparavant, Fulham avait ouvert la marque par Brian McBride (17), avant que l'inoxydable Ryan Giggs n'égalise (29). Fulham a bien tenté de reprendre l'avantage en seconde période, notamment par Radzinski (51), puis par Davies (60), mais c'était sans compter sur, respectivement, la barre transversale et la vigilance de Van der Sar.

Devils
Chelsea tentera encore de réduire son écart avec Manchester mercredi en se déplaçant, pour le compte de cette journée, chez les rivaux des Red Devils, à Manchester City.

[Norton]

L'UEFA rejette la réclamation de Lille sur le but de Manchester

L'Union européenne de football (UEFA) a rejeté vendredi le recours de Lille qui estimait que le but de Manchester United lors du 8e de finale aller de Ligue des champions mardi (1-0) marqué sur un coup franc rapidement joué par Giggs n'était pas valable.

"La commission de contrôle et de discipline de L'UEFA a rejeté la réclamation de Lille déposée après le match (...) de Ligue des champions contre Manchester United", annonce l'UEFA dans un communiqué.

Manchester United avait marqué à la 84e minute sur un coup franc inscrit par Ryan Giggs alors que le gardien lillois était occupé à placer son mur. Les Lillois estimaient ce but non valable dans la mesure où l'arbitre de la rencontre n'avait pas indiqué clairement à tous les joueurs l'autorisation de jouer rapidement le coup franc.

"Après avoir examiné le rapport de l'arbitre et les images vidéos disponibles, la commission a décidé de rejeter la réclamation, considérant qu'il n'y avait pas d'erreur technique. La commission a décidé que le but était valide", indique encore le communiqué.

[Norton]

Finale de prestige entre Chelsea et Arsenal

Chelsea et Arsenal se disputent dimanche à Cardiff le premier titre de la saison en finale de la Coupe de la Ligue, l'occasion pour le public anglais d'assister à un nouvel épisode de la rivalité entre les deux entraîneurs Jose Mourinho et Arsène Wenger. L'un professe l'efficacité et la victoire à tout prix, l'autre est le chantre du beau jeu et du spectacle, mais reconnaît qu'il trouve le temps long, sevré de titres depuis la Coupe d'Angleterre 2005.

Surtout, le Portugais et le Français ne sont pas les meilleurs camarades du monde, depuis que le premier a reproché au second ses commentaires récurrents sur Chelsea en le qualifiant de "voyeur". Il y eut aussi l'approche illégale d'un joueur d'Arsenal, Ashley Cole, par Mourinho. Cole, qui pourrait jouer dimanche après une blessure, a finalement rejoint Chelsea. Cette saison, les deux hommes avaient mis en sourdine leur rivalité. Certes, Mourinho avait expliqué que ce qui différenciait son équipe de celle de Wenger, c'est qu'elle était "adaptée à la réalité", et il s'était étonné de voir "certains entraîneurs jouer tous leurs matches avec la même stratégie" quel que soit l'adversaire.

Mais ces escarmouches avaient fait long feu. Wenger s'en prenait à Alan Pardew en bord de touche, pendant que Mourinho était occupé à balancer des piques à son patron Roman Abramovitch. Le feu, pourtant, couve encore sous la braise. Ainsi, Wenger s'est étonné qu'un club puisse, sans dommages, accumuler les pertes financières, alors que Chelsea venait d'annoncer un nouveau déficit de 80 millions de livres (120 millions d'euros).

Le lendemain, sur l'éventualité d'une élimination en Ligue des champions, Mourinho a répliqué: "Si vous me jugez sur le fait que je ne gagne pas la Ligue des champions (ndlr: cette année), alors vous devez juger tous les entraîneurs de la compétition, parce que moi, je l'ai gagnée une fois" (ndlr: avec Porto). "Beaucoup de grands entraîneurs dans le monde du football ne l'ont pas fait. Nous en avons un près de chez nous", a-t-il poursuivi devant les journalistes qui se sont empressés d'aller en parler à l'intéressé, encore meurtri de la finale perdue contre Barcelone en mai.

"Beaucoup d'entraîneurs qui ont remporté la Ligue des champions ne seront pas considérés comme des grands managers", a rétorqué le Français. Ce n'est pas encore la guerre totale. Mais c'est suffisant pour mettre un peu de sel à la finale de dimanche.

[Norton]

Ligue 1: Lyon fait match nul avec SochauxLyon a arraché le nul face à Sochaux (3-3), samedi au stade de Gerland, dans les ultimes instants d'un match de la 26e journée de Ligue 1 de football spectaculaire où la rentrée de Sylvain Wiltord, absent depuis plusieurs semaines a été très bénéfique à l'OL.
AFP AGENCE FRANCE-PRESSE.23:31 24.02.07Dans une rencontre au cours de laquelle les Lyonnais ont toujours été menés, l'international a permis aux champions de France de revenir à 3-2 d'un tir à effet dans la lucarne (90) avant d'obtenir un penalty pour une faute de Diawara dans le temps additionnel sur lequel Juninho a égalisé (90+2).
A l'aller, c'était déjà Wiltord, entré en jeu, qui avait donné la victoire à l'OL à un quart d'heure de la fin (1-0).
Après avoir joué contre l'AS Rome mercredi en Ligue des champions, Gérard Houllier souhaitait apporter de la fraîcheur à son équipe qui a finalement eu très chaud.
L'OL s'est présenté sur une pelouse toujours aussi difficile à jouer avec sept changements et une composition inattendue avec notamment la titularisation de Benzema, de retour après une longue indisponibilité.
Les Lyonnais ont eu d'énormes difficultés à trouver leurs marques et les Sochaliens ont largement profité des moments d'égarements des champions de France.
Les Doubiens ont rapidement ouvert la marque avec un but d'Alvaro après une passe de Ziani dans l'axe (13), avant de porter le score à 2-0 sur un penalty transformé par Ziani, accordé pour une faute de Cris sur Alvaro qui aurait dû valoir au minimum un avertissement au Brésilien (29).
L'OL a réduit l'écart en fin de première période par Baros, à la suite d'un bon travail de Réveillère sur l'aile droite alors que les Sochaliens étaient réduits momentanément à dix en raison de la blessure à la face de Tosic, soigné sur la touche (40).
La seconde période a été largement dominée par l'OL, seulement dangereux sur des occasions de Baros et Juninho (51, 65). Grax, en fin de partie, pensait avoir fait le plus dur pour Sochaux en portant le score à 3-1 (86) mais c'était sans compter sur les ressources morales retrouvées des Lyonnais qui n'ont jamais renoncé, comme à Lille, il y a huit jours.

[Norton]

Six Nations: la France toujours en course pour le Grand Chelem
sam. févr. 24, 2007





par Jean-Paul Couret
SAINT-DENIS (Reuters) - Le XV de France reste en course pour son huitième Grand Chelem dans le Tournoi des Six Nations grâce à une victoire 32-21 sur le Pays de Galles, samedi, au Stade de France.
Déjà vainqueur de l'Italie, 39-3 à Rome, et de l'Irlande, 20-17 à Dublin, la France rencontrera l'Angleterre à Twickenham le 11 mars et recevra l'Ecosse le 17 mars.
Elle est désormais la seule équipe en position de remporter ses cinq matches après la défaite de l'Angleterre à Dublin.
Le Pays de Galles compte trois défaites et va devoir affronter l'Italie à Rome et l'Angleterre au Millennium.
Un début de match hésitant a permis aux Gallois de mener 14-3 après un quart d'heure grâce à deux essais marqués en trois minutes, entre la 12e et la 15e, par Alix Popham et Tom Shanklin et transformés par Stephen Jones.
Les Français ont ensuite pris le contrôle du match pour s'imposer par deux essais de Christophe Dominici et de Lionel Nallet, deux transformations et cinq pénalités de David Skrela, et une pénalité de Lionel Beauxis.
Le tableau de marque des Gallois est resté bloqué sur leurs deux essais marqués en début de match jusqu'à ce que le centre remplaçant Jamie Robinson marque un troisième essai transformé par Jones.
"On prend 14 points d'entrée. Notre force est de jamais rien lâcher, on l'a encore prouvé ce soir", a déclaré David Skrela. "On se prépare à chaque match pour essayer de le gagner, on va se reconcentrer pour Twickenham.
Par un temps humide, mais sans pluie, les Français ont ouvert le score sur une pénalité de Skrela à la 10e minute mais la réplique de Gallois bien plus fringants qu'attendu a été immédiate et foudroyante.
PUBLIC CONQUIS
Eux qui n'avaient pas marqué d'essai depuis le début du Tournoi, ont franchi la ligne deux fois en trois minutes.
Ce coup d'accélérateur rappelait dangereusement celui qui avait permis aux Gallois de battre la France 24-18 au Stade de France, il y a deux ans, en marquant deux essais en quatre minutes juste après la mi-temps.
Les Français avaient cette fois davantage de temps pour remonter la pente. Une deuxième pénalité de Skrela leur a permis de revenir à 14-6.
Un enchaînement de trois minutes de phases de jeu sans parvenir à déstabiliser la défense galloise a montré qu'ils n'étaient pas encore tout à fait dans le match.
Il a fallu un éclair de Dominici pour percer la ligne rouge d'un essai transformé par Skrela à la 28e minute.
Les Français n'avaient plus qu'un point de retard (14-13). Une percée de Yannick Jauzion prolongée par Serge Betsen puis tous les avants a offert le deuxième essai au deuxième ligne Lionel Nallet.
Skrela a transformé puis a immédiatement ajouté une pénalité qui a permis à la France d'atteindre la mi-temps sur le score de 23-14.
Un raid gallois stoppé sur la ligne par Clément Poitrenaud a laissé entendre que le match n'était peut-être pas encore joué mais Skrela a porté le score à 29-14 de deux pénalités pour montrer que les Français étaient toujours en contrôle.
Après deux victoires à l'extérieur, les Français voulaient aussi séduire le public du Stade de France et La Marseillaise qui a retenti à l'heure de jeu a dû leur faire chaud au coeur.
"Merci au public", a dit Serge Betsen.
Ni le ballet des remplaçants, qui a permis au talonneur Benoît August de recevoir sa première sélection à 30 ans, ni un essai du centre remplaçant Jamie Robinson, transformé par Jones, n'ont changé le court du match.
Le score s'est finalement fixé à 32-21 sur une pénalité réussie à la dernière minute par Lionel Beauxis, entré en jeu à la place de David Skrela.

[Norton]

Six Nations: l'Italie remporte son premier succès à l'extérieur
sam. févr. 24, 2007







EDIMBOURG (Reuters) - L'Italie a surfé sur la vague d'un départ tonitruant pour battre l'Ecosse 37-17 (24-10 à la mi-temps) et décrocher samedi son premier succès à l'extérieur dans le tournoi des Six Nations.
Les hommes de Pierre Berbizier ont saisi toutes les perches que les Ecossais leur ont tendues pour se permettre de gérer la pression adverse pendant une grande partie de la rencontre avant d'enfoncer le clou.
Après six minutes, les Azzurri avaient inscrit trois essais sur des interceptions et menaient 21-0.
Le XV du Chardon ne s'affolait pas et, poussé par la puissance de son pack, s'approchait de l'en-but adverse.
Profitant du placement de l'arbitre devant un défenseur italien, le trois-quart centre Robert Dewey passait en force pour la réduction du score.
Revenus des vestiaires avec une intention jamais démentie de jouer, les Ecossais revenaient à sept longueurs sur un essai de l'inusable Chris Paterson à l'heure de jeu.
Mais deux pénalités d'Andrea Scavanacca les remettaient à dix puis à 13 points et assuraient définitivement la victoire italienne.
Porté par son pack, Alessandro Troncon salait méchamment l'addition en ajoutant un quatrième essai.
A 18h30, l'Irlande accueille l'Angleterre à Croke Park. La France reçoit le Pays de Galles au Sade de France à 21h00.

[Norton]

Six Nations: l'Irlande retrouve sa fierté contre l'Angleterre
sam. févr. 24, 2007








DUBLIN (Reuters) - Sur le sol même du premier Bloody Sunday, l'Irlande a mâté l'Angleterre 43-13 samedi dans le tournoi des Six Nations, anéantissant au passage les rêves de Grand Chelem du XV de la Rose.
Battu sur le fil par la France il y a deux semaines pour sa première apparition à Croke Park, le XV du Trèfle, qui n'avait jamais battu l'Angleterre de plus de 22 points, n'a pas laissé la chance aux champions du monde de lui voler la victoire.
Bien aidés par le retour de Peter Stringer et Brian O'Driscoll, les Irlandais, auteurs de quatre essais, peuvent encore remporter le Tournoi, surtout si la France venait à trébucher contre le Pays de Galles en soirée.
Dans le stade de la Fédération des sports gaéliques, le God Save The Queen anglais a parfaitement été respecté, les 82.500 spectateurs se réservant pour un tonitruant Amhran na bhFiann, l'hymne traditionnel irlandais.
Croke Park, construit sur le site du premier 'Bloody Sunday', le massacre de 13 personnes par des policiers britanniques le 21 avril 1920, ne pouvait tolérer une défaite contre les Anglais.
Le message a parfaitement été compris par les 'Drico Lads', la bande à O'Driscoll, qui ont mis d'entrée une terrible pression sur l'adversaire.
Les Anglais n'ont plus battu l'Irlande dans le Tournoi depuis leur dernier Grand Chelem en 2003.
Jonny Wilkinson, un temps incertain et finalement titulaire, ouvrait la marque sur pénalité avant que ne s'abattent des trombes d'eau et des vagues vertes.
La botte de Ronan O'Gara, qui a passé samedi la barre des 700 points sous le maillot irlandais et deux essais de Girvan Dempsey et David Wallace permettaient aux hommes d'Eddie O'Sullivan d'atteindre la pause à 23-3.
David Strettle, pour sa première sélection en remplacement de Jason Robinson blessé, redonnait un peu d'espoir aux Anglais en inscrivant un essai à la 47e minute.
Mais la précision d'O'Gara au pied et surtout un essai de Shane Horgan effaçaient tout doute sur l'issue de la rencontre. Isaac Boss, entré en jeu à la 77e, marquait le dernier essai du triomphe irlandais à la dernière minute.

[Norton]

Ski: première victoire pour Michaela Kirchgasser à Sierra Nevada
sam. févr. 24, 2007









SIERRA NEVADA, Espagne (Reuters) - L'Autrichienne Michaela Kirchgasser a remporté samedi son premier succès en Coupe du monde en s'adjugeant le slalom géant de Sierra Nevada.
Quatrième du géant des championnats du monde, Kirchgasser, 21 ans, a devancé dans l'ordre sa compatriote Nicole Hosp, médaillée d'or à Are, et la Finlandaise Tanja Poutiainen.
Poutiainen, qui avait l'occasion de prendre la tête du classement de la Coupe du monde de la spécialité après avoir réalisé le meilleur temps de la première manche, n'a signé que le 14e chrono dans la seconde.
Kirchgasser, elle, a réussi une performance parfaitement homogène et se relance au classement de la Coupe du monde de géant.
L'Américaine Julia Mancuso, championne olympique de la discipline et venue en Espagne avec l'espoir de grappiller des points sur Renate Götschl au général, a pris la sixième place.
La Suédoise Anja Pärson a fini quatrième, confirmant son retour en forme amorcé de façon spectaculaire aux Mondiaux.
Götschl s'est bien comportée en terminant 14e, deux places devant la meilleure Française, Ingrid Jacquemod.