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[Stoner27]

à quoi bon garder le nom paris dakar......

[danlos]

Envoyé par Stoner27

à quoi bon garder le nom paris dakar......

Depuis 2002, le nom de Paris n'existe plus mais seulement Dakar car c'est une marque déposée comme les Le Mans Series qui se disputent à Spa, au Castellet, à Silverstone et à Estoril...

[Norton]

Foot - Bleus

Ribéry et Gourcuff se sont expliqués

A la demande du Munichois, Franck Ribéry et Yoann Gourcuff se sont expliqués sur leurs différends. Laurent Blanc justifie la démarche du milieu bavarois.

Franck Ribéry et Yoann Gourcuff ont mis les choses à plat, en présence d'un membre du staff tricolore.(REUT)


Annoncée lundi après-midi par le milieu bavarois, l'explication entre Franck Ribéry et Yoann Gourcuff a bien eu lieu. Encadrés par un membre du staff dont Laurent Blanc n'a pas révélé l'identité, les deux joueurs ont eu une discussion pour «mettre à plat» leurs différends. Après avoir juré n'avoir «aucun problème» avec Gourcuff, Ribéry lui avait tout de même formulé ce reproche : ne pas avoir démenti les tensions qu'on leur prêtait. A tort. Le 19 septembre dernier sur Canal +, le milieu lyonnais avait affirmé : «Ce sont des mensonges. Il n'y a jamais eu de dispute. Je n'ai jamais eu de souci avec Franck ni avec aucun autre joueur.»

Blanc : «Ne pas repartir sur une fausse note»

«Par rapport au problème qu'il a eu (l'affaire Zahia, ndlr), Franck a fait abstraction de tout ce qui se disait en France, mais Yoann s'était déjà effectivement exprimé sur le sujet, a sobrement commenté le sélectionneur. Cette discussion leur a permis de ne pas repartir sur une fausse note». Alors que l'intervention de Ribéry avait été diversement appréciée (Sur RMC, son ancien entraîneur à Metz Jean Fernandez s'est notamment dit «choqué» par ses déclarations), Blanc a tenté de minimiser la portée de ses propos. «Quand les joueurs sont taiseux, vous dites qu'ils sont taiseux. Et quand ils s'expriment, vous en faites une affaire...»


En Afrique du Sud, Blanc n'était pas là. Il s'abstient par conséquent «d'intervenir sur ce qui s'est passé». «Mais là j'y suis, et je vous confirme qu'il n'y a pas de problèmes entre Gourcuff et Ribéry». Pourquoi le croire ? «Parce que je vous le dis. Franck vous a exprimé quelque chose qui n'était pas prévu. Il a dit ce qu'il ressentait, et c'est très bien parce que ça permet d'évacuer. S'il ne l'avait pas fait et que vous l'aviez appris, ça aurait pris d'autres proportions...». Si leur relation est au beau fixe, pourquoi alors avoir demandé la présence d'un médiateur au cours de leur entretien ? «Il faut toujours être trois dans une discussion pour repartir sur des choses saines». Sous-entendu, elles ne l'étaient pas forcément auparavant. - E. T., à Clairefontaine

Mon avis, stoper ces confrontations et penser au foot, commence à durer ces commentaires..............Tournez la page, merde.....

[Norton]

automobilisme

Qui arrêtera Sebastian Vettel?


Image © Keystone
Champion du monde 2010, Sebastian Vettel remet sa couronne en jeu. Il est le principal favori à sa propre succession.

Le plus jeune champion du monde de l’histoire va défendre son titre avec férocité. De plus en plus sûr de lui, il se pose comme l’un des principaux favoris de la saison 2011.
Luc Domenjoz - le 23 mars 2011, 20h33
Le Matin
0 commentaires


Demain matin, lors de la première séance d’essais de la saison 2011, sa Red Bull RB7 quittera son garage parée d’un rutilant numéro «1» sur ses flancs. Le chiffre magique des champions du monde, celui après lequel courent les 24 pilotes engagés en F1.
Il a été mal jugé
Lorsque Sebastian Vettel, sa RB7 et son numéro 1 longeront lentement les stands, Peter Sauber les regardera sans doute passer en réprimant un soupir. Le premier, le Zurichois avait embauché le jeune Allemand en tant que pilote-essayeur, dès le Grand Prix de Hongrie 2006, et le premier encore, il lui avait permis de courir en grand prix (c’était aux Etats-Unis, en 2007, en remplacement de Robert Kubica, accidenté au Canada). Sebastian Vettel s’y était montré brillant, marquant un premier point dès ses débuts.
Pourtant, quelques semaines plus tard, Peter Sauber a décidé que son jeune poulain n’était pas suffisamment talentueux. Et il l’a donc laissé retourner dans le giron de Red Bull. La marque l’a alors intégré à son équipe «B», Toro Rosso, où Sebastian Vettel a signé sa première victoire à Monza, en 2008.
Passé chez Red Bull en 2009, son talent s’est affirmé, son expérience s’est affinée, sa science de la course s’est affûtée. Au point de décrocher son premier titre mondial l’an dernier. Ce ne sera peut-être pas le dernier. «Laisser partir Sebastian a été la plus grosse gaffe de ma carrière, rumine encore Peter Sauber. A l’époque, nous avions considéré, avec les dirigeants de BMW (alors majoritaires dans son équipe), que Sebastian commettait trop d’erreurs et n’était pas assez doué pour la mise au point. Ce que nous n’avions pas suffisamment bien perçu, c’est qu’il a toujours été relativement lent à s’adapter à chaque nouvelle étape de sa carrière. Par contre, ensuite, il devient excellent. Nous n’avons simplement pas attendu suffisamment longtemps.»
Helmut Marko, le responsable du sport automobile de Red Bull, n’est pas réputé pour sa patience. Mais il connaît bien ses protégés et savait que Sebastian Vettel arriverait un jour à maturité. L’an dernier, le jeune Allemand a d’ailleurs encore commis plusieurs erreurs qui faillirent lui coûter le championnat, mais un coup de pouce de la chance lors de la dernière manche lui a tout de même offert le titre de plus jeune champion du monde de l’histoire.
Une voiture encore plus compétitive?
Cette saison, le directeur technique de Red Bull, Adrian Newey, dit avoir conçu une machine nettement plus efficace que l’an dernier. De son côté, Sebastian Vettel, gonflé à bloc, vient de prolonger son contrat avec l’écurie anglo-autrichienne jusqu’en 2014. Celui de son coéquipier, Mark Webber, au contraire, se termine à la fin de l’année. Dans de telles situations, l’équipe se cristallise autour de son héros, celui qui est né avec elle, celui qui en connaît tous les rouages et tous les mécaniciens personnellement, celui qui y disputera encore plusieurs saisons, et surtout celui qu’elle perçoit comme le plus talentueux de ses deux pilotes.
Mark Webber pilotera la même voiture que Sebastian Vettel, mais ne se battra pas à armes égales contre l’Allemand. Fort du soutien de son écurie, porté par la gloire de son titre mondial, le champion du monde aborde 2011 avec un seul but: conserver son numéro 1 sur les flancs de la RB8 avec laquelle il roulera en 2012.
Au sommet de son art, il se pose comme l’un des favoris les plus redoutables de cette saison. Pauvre Peter Sauber.

[Norton]

formule 1

La F1 fait les yeux doux aux dames


Image © Keystone
Simona De Silvestro l’admet: elle travaille dans le but de décrocher un jour un volant en F1. Son intention n’est pas d’y aller pour faire joli dans le paysage.

Bernie Ecclestone n’est plus opposé à la présence d’au moins une femme en F1. La proposition titille la Vaudoise Simona De Silvestro, engagée en IndyCar, outre-Atlantique.
Jean-Claude Schertenleib - le 23 mars 2011, 21h00
Le Matin
0 commentaires


Le parler de Bernie Ecclestone, 80 ans depuis octobre dernier, est autant raffiné que sa fortune personnelle est modeste. Petit florilège de ses attaques machistes et racistes: «Jamais une femme n’excellera en F1. Une femme doit rester ce pourquoi elle est faite: être à la disposition des garçons. A moins de trouver la perle rare: un look d’enfer, la peau noire, de préférence une juive ou une musulmane qui parlerait espagnol.» C’était en février 2000. Cinq ans plus tard, quand l’Américaine Danica Patrick termine quatrième de «la» course de l’année, les 500 Miles d’Indianapolis, le patron de la F1 en remet une couche: «Vous savez, je viens d’avoir une idée formidable: une femme en F1, oui, à condition qu’elle soit tout habillée en blanc, comme toutes les employées domestiques.»
Puis, le 1er mars dernier
Puis tout à coup, le 1er mars dernier, il lance une bombe sur Formula1.com, le site officiel de la F1: «C’est le sexe et l’argent qui font tourner le monde. C’est pourquoi je suis certain que d’ici peu de temps, 50% des décideurs en économie et en politique seront des femmes. Les femmes ont toujours exercé une grande influence, mais elles sont certainement restées trop longtemps dans l’ombre. D’ailleurs, ne dit-on pas que derrière le succès de chaque homme se cache une femme? C’est pour cela que je suis désormais persuadé qu’au plus tard dans trois ou cinq ans, il y aura des femmes en formule 1.»
D’abord, il faut gagner
Il n’en fallait pas plus pour que, de l’autre côté de l’Atlantique, là où les femmes pilotes ont la cote depuis plusieurs années, les ambitions s’enflamment. Ainsi, Simona De Silvestro, la Vaudoise de 22 ans, qui entame ce week-end à Saint Petersburg son deuxième championnat d’IndyCar, la catégorie majeure des courses de monoplace aux Etats-Unis: «Je pense bien sûr que ça serait une très bonne chose, mais pas dans n’importe quelles conditions. Je m’explique: le but n’est pas d’engager une femme en F1 pour faire beau ou pour se donner bonne conscience; la pilote qui sera peut-être désignée un jour doit rouler devant. Les règles d’accession à la F1 doivent être les mêmes que pour ses collègues mâles. Et, jusqu’à présent, aucune de nous n’a prouvé qu’elle avait le niveau requis. Alors oui, bien sûr, je travaille pour cela. Si, cette année, je roule devant lors de toutes les courses, sur tous les terrains, que j’y obtiens des vraies performances, on en rediscutera. Mais pour le moment, je me concentre que sur mon projet IndyCar, c’est déjà un programme ambitieux.»



Les femmes qui ont déjà piloté des F1
Maria Teresa de Filippis (It): 5 GP entre 1958 et 1959. Deux non-qualifications. Meilleur résultat: 10e du GP de Belgique 1958 (Maserati 250F).
Lella Lombardi (It): 17 GP entre 1974 et 1976. Cinq non-qualifications. Meilleur résultat: 6e du GP d’Espagne 1975 (March 741 Cosworth). Elle est la seule à avoir son nom au palmarès du championnat du monde (un demi-point, ce GP d’Espagne fut arrêté avant les deux tiers de la course en raison de l’accident de Rolf Stommelen. La voiture de l’Allemand décolla dans le public, tuant cinq spectateurs sur le circuit urbain de Montjuich, à Barcelone).
Divina Mary Galica (GB): 3 GP entre 1976 et 1978. Trois non-qualifications. Signe particulier: avant de goûter à la F1 (et après), la Britannique a fait une jolie carrière de skieuse, participant notamment aux Jeux olympiques d’hiver en 1964, en 1968, en 1972, puis à ceux de 1992.
Désiré Wilson (AfS): 1 GP en 1979. Non qualifiée à Brands Hatch (Williams FW07).
Giovanna Amati (It): 3 GP en 1992. Trois non-qualifications (Afrique du Sud, Mexique, Brésil). Dès le GP d’Espagne suivant, sa Brabham BT60B sera confiée à un jeune débutant: Damon Hill, futur champion du monde.




Interview de Simona De Silvestro, pilote indycar
Simona, une voiture de couleur verte, un slogan qui rappelle que l’énergie nucléaire est propre, c’est assez particulier après la catastrophe du Japon, non?
Au contraire. Désormais, grâce à ce programme, le nucléaire a une voix. On peut répondre aux questions que tout le monde se pose.
On pense bien que vous n’allez pas dire le contraire, puisque ce sponsor est à vos côtés pour trois saisons?
Attendez, que les choses soient claires: techniquement, sportivement, ce partenaire va nous permettre de passer une seconde marche sur l’échelle des valeurs en IndyCar, c’est vrai. Mais je crois vraiment au message que nous transmettons.
Au point d’aller visiter une centrale?
Je l’ai fait il y a quelques semaines, dans le Mississippi. Eh bien croyez-moi, jamais on a l’impression que quelque chose de fâcheux pourrait nous arriver.
Donc, à vous entendre, l’avenir, c’est toujours le nucléaire?
Mais bien sûr! Notre partenaire, Entergy, occupe 15 000 employés, fournit de l’électricité propre à 2,7 millions d’habitants dans l’Arkansas, la Louisiane, le Mississippi et le Texas, les centrales tournent 24 heures sur 24, sept jours sur sept. Et j’ai vraiment été impressionnée par les mesures de sécurité adoptées dans tous les secteurs de la production.
Propos recueillis par J.-C. S.

[Norton]

Tour de Catalogne: l'étape et le maillot pour Contador


© reuters

L'Espagnol Alberto Contador (Saxo Bank), grand favori de l'épreuve, a remporté mercredi la 3e étape du 100e Tour de Catalogne cycliste (World Tour), l'étape-reine, disputée sur 183,9 km entre La Vall d'en Bas et le col de Pal (hors catégorie), à Vallnord, en Andorre. Il a devancé l'Italien Michele Scarponi (Lampre) et l'Américain Levi Leipheimer (RadioShack) de 23 secondes au sommet du col.

L'Irlandais Daniel Martin s'est classé 4e à 35 secondes devant l'Américain Chris Horner, 5e, et le Colombien Alex Cano, 6e. On retrouve à la 8e place l'Italien Ivan Basso, à 38 secondes, et à la 10e place l'Australien Cadel Evans, 50 secondes. Meilleur Belge, Kevin Seeldraeyers, 24 ans, s'est classé 13e à 1:12.

Contador s'empare du maillot de leader du classement général. Il possède 23 secondes d'avance sur Scarponi, 2e, et Leipheimer, 3e. Seeldraeyers est 11e du général à 1:12.

La 4e étape longue de 195 km reliera jeudi La Seu d'Urgell à El Vendrell.

[Stoner27]

Envoyé par Norton

formule 1

La F1 fait les yeux doux aux dames


Image © Keystone
Simona De Silvestro l’admet: elle travaille dans le but de décrocher un jour un volant en F1. Son intention n’est pas d’y aller pour faire joli dans le paysage.

Bernie Ecclestone n’est plus opposé à la présence d’au moins une femme en F1. La proposition titille la Vaudoise Simona De Silvestro, engagée en IndyCar, outre-Atlantique.
Jean-Claude Schertenleib - le 23 mars 2011, 21h00
Le Matin
0 commentaires


Le parler de Bernie Ecclestone, 80 ans depuis octobre dernier, est autant raffiné que sa fortune personnelle est modeste. Petit florilège de ses attaques machistes et racistes: «Jamais une femme n’excellera en F1. Une femme doit rester ce pourquoi elle est faite: être à la disposition des garçons. A moins de trouver la perle rare: un look d’enfer, la peau noire, de préférence une juive ou une musulmane qui parlerait espagnol.» C’était en février 2000. Cinq ans plus tard, quand l’Américaine Danica Patrick termine quatrième de «la» course de l’année, les 500 Miles d’Indianapolis, le patron de la F1 en remet une couche: «Vous savez, je viens d’avoir une idée formidable: une femme en F1, oui, à condition qu’elle soit tout habillée en blanc, comme toutes les employées domestiques.»
Puis, le 1er mars dernier
Puis tout à coup, le 1er mars dernier, il lance une bombe sur Formula1.com, le site officiel de la F1: «C’est le sexe et l’argent qui font tourner le monde. C’est pourquoi je suis certain que d’ici peu de temps, 50% des décideurs en économie et en politique seront des femmes. Les femmes ont toujours exercé une grande influence, mais elles sont certainement restées trop longtemps dans l’ombre. D’ailleurs, ne dit-on pas que derrière le succès de chaque homme se cache une femme? C’est pour cela que je suis désormais persuadé qu’au plus tard dans trois ou cinq ans, il y aura des femmes en formule 1.»
D’abord, il faut gagner
Il n’en fallait pas plus pour que, de l’autre côté de l’Atlantique, là où les femmes pilotes ont la cote depuis plusieurs années, les ambitions s’enflamment. Ainsi, Simona De Silvestro, la Vaudoise de 22 ans, qui entame ce week-end à Saint Petersburg son deuxième championnat d’IndyCar, la catégorie majeure des courses de monoplace aux Etats-Unis: «Je pense bien sûr que ça serait une très bonne chose, mais pas dans n’importe quelles conditions. Je m’explique: le but n’est pas d’engager une femme en F1 pour faire beau ou pour se donner bonne conscience; la pilote qui sera peut-être désignée un jour doit rouler devant. Les règles d’accession à la F1 doivent être les mêmes que pour ses collègues mâles. Et, jusqu’à présent, aucune de nous n’a prouvé qu’elle avait le niveau requis. Alors oui, bien sûr, je travaille pour cela. Si, cette année, je roule devant lors de toutes les courses, sur tous les terrains, que j’y obtiens des vraies performances, on en rediscutera. Mais pour le moment, je me concentre que sur mon projet IndyCar, c’est déjà un programme ambitieux.»



Les femmes qui ont déjà piloté des F1
Maria Teresa de Filippis (It): 5 GP entre 1958 et 1959. Deux non-qualifications. Meilleur résultat: 10e du GP de Belgique 1958 (Maserati 250F).
Lella Lombardi (It): 17 GP entre 1974 et 1976. Cinq non-qualifications. Meilleur résultat: 6e du GP d’Espagne 1975 (March 741 Cosworth). Elle est la seule à avoir son nom au palmarès du championnat du monde (un demi-point, ce GP d’Espagne fut arrêté avant les deux tiers de la course en raison de l’accident de Rolf Stommelen. La voiture de l’Allemand décolla dans le public, tuant cinq spectateurs sur le circuit urbain de Montjuich, à Barcelone).
Divina Mary Galica (GB): 3 GP entre 1976 et 1978. Trois non-qualifications. Signe particulier: avant de goûter à la F1 (et après), la Britannique a fait une jolie carrière de skieuse, participant notamment aux Jeux olympiques d’hiver en 1964, en 1968, en 1972, puis à ceux de 1992.
Désiré Wilson (AfS): 1 GP en 1979. Non qualifiée à Brands Hatch (Williams FW07).
Giovanna Amati (It): 3 GP en 1992. Trois non-qualifications (Afrique du Sud, Mexique, Brésil). Dès le GP d’Espagne suivant, sa Brabham BT60B sera confiée à un jeune débutant: Damon Hill, futur champion du monde.




Interview de Simona De Silvestro, pilote indycar
Simona, une voiture de couleur verte, un slogan qui rappelle que l’énergie nucléaire est propre, c’est assez particulier après la catastrophe du Japon, non?
Au contraire. Désormais, grâce à ce programme, le nucléaire a une voix. On peut répondre aux questions que tout le monde se pose.
On pense bien que vous n’allez pas dire le contraire, puisque ce sponsor est à vos côtés pour trois saisons?
Attendez, que les choses soient claires: techniquement, sportivement, ce partenaire va nous permettre de passer une seconde marche sur l’échelle des valeurs en IndyCar, c’est vrai. Mais je crois vraiment au message que nous transmettons.
Au point d’aller visiter une centrale?
Je l’ai fait il y a quelques semaines, dans le Mississippi. Eh bien croyez-moi, jamais on a l’impression que quelque chose de fâcheux pourrait nous arriver.
Donc, à vous entendre, l’avenir, c’est toujours le nucléaire?
Mais bien sûr! Notre partenaire, Entergy, occupe 15 000 employés, fournit de l’électricité propre à 2,7 millions d’habitants dans l’Arkansas, la Louisiane, le Mississippi et le Texas, les centrales tournent 24 heures sur 24, sept jours sur sept. Et j’ai vraiment été impressionnée par les mesures de sécurité adoptées dans tous les secteurs de la production.
Propos recueillis par J.-C. S.

elle est quand même moins belle que Danica Patrick

[Norton]

elle est quand même moins belle que Danica Patrick

Mais beaucoup plus rapide............Slut le Belge....

[Stoner27]

Envoyé par Norton

Mais beaucoup plus rapide............Slut le Belge....

plus rapide pour plonger dans le lit?

Si c'est sur la piste, franchement je m'en fou

Salut la Suisse

[Stoner27]

Un nuage artificiel pour rafraichir les joueurs au Qatar en 2022


Incroyable mais vrai, les stades de la Coupe du Monde au Qatar en 2022 seront survolés par un nuage artificiel qui devrait rendre le climat plus acceptable pour les joueurs sur le terrain. L'invention extraordinaire met définitivement le Mondial 2022 dans une perspective futuriste et à la pointe de la technologie.

Le nuage serait contrôlé à distance par une télécommande spéciale, serait conçu à 100% en matériaux carboniques, gonflé à l'hélium et son combustible serait propre car il serait alimenté par quatre panneaux solaires géants. Le soleil étant en effet disponible en quantité dans cette région du globe, il aurait été criminel de ne pas en profiter... pour mieux s'en cacher!

Les joueurs peuvent donc se rassurer s'ils craignaient les fortes chaleurs de cette zone aride, l'université du Qatar a trouvé cette solution hi-tech rien que pour leur confort: filtre des rayons UV, baisse de la température sur le terrain à la clé. Le tout pour la bagatelle de 500.000 dollars (354.000 euros environ). Pourquoi s'en priver? Certains avanceront sans doute que si les nuages étaient un critère décisif, il suffisait d'organiser le Mondial en Belgique...