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Tour du Pays Basque: Sanchez gagne l'étape reine


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L'Espagnol Samuel Sanchez (Euskatel) a remporté la 4e étape du Tour du Pays Basque (WorldTour), disputée jeudi sur 179 km entre Amurrio et Eibar.

A l'arrivée jugée peu après le sommet d'une difficulté de 1ère catégorie, le champion olympique s'est imposé dans l'étape reine de l'épreuve en se montrant le plus rapide au sprint d'un groupe de onze unités, dont la plupart des favoris pour la victoire finale.

Il a devancé dans l'ordre l'Allemand Andreas Klöden, le Kazakh Alexandre Vinokourov et son compatriote Joaquin Rodriguez (Katusha), qui a conservé son maillot jaune de leader. La 5e étape conduira vendredi les coureurs d'Eibar à Zalla, au terme d'un parcours de 177 km.

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Cyclisme

Paris-Roubaix: Cancellara vise le triplé


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Fabian Cancellara

Le cyclisme renoue avec sa légende annuelle dimanche avec la 109e édition de Paris-Roubaix. Deux fois vainqueur sur les pavés du Nord, Fabian Cancellara vise le triplé, mais le Bernois n’est pas le seul favori. Passage en revue des principaux prétendants.
le 08 avril 2011, 16h36
LeMatin.ch & les agences
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Les anciens vainqueurs:
Au départ des 258 kilomètres à Compiègne, quatre anciens lauréats figurent dans le peloton des 25 équipes. Deux d’entre eux, Cancellara (2006 et 2010) et l’Australien Stuart O’Grady (2007), se côtoient dans la même équipe. Le Français Frédéric Guesdon (1997) s’aligne pour la 16e fois dans l’épreuve qui l’a révélé, preuve de la passion que suscite la «reine des classiques». Quant au Belge Tom Boonen, il n’est autre que le triple vainqueur (2005, 2008 et 2009), candidat naturel au record des quatre succès détenu par son compatriote Roger De Vlaeminck depuis les années 1970.
Si Cancellara bénéficie de la présence de O’Grady au sein d’une équipe Leopard sensiblement moins impressionnante que leur ancienne formation (Saxo Bank), Boonen possède également un appui solide chez Quick Step, longtemps le groupe dominant dans Paris-Roubaix. A côté de l’Anversois, Sylvain Chavanel représente plus qu’un simple lieutenant, surtout après son numéro dimanche dernier dans le Tour des Flandres (2e). Mais le Français, là encore, manque d’expérience sur les pavés du Nord bien qu’il se soit déjà classé en bon rang sur le vélodrome roubaisien (8e).
Entre Cancellara et Boonen, l’an passé, le match avait tourné court. Le Bernois, surpuissant, s’était isolé dès les pavés de Mons-en-Pévèle, à une cinquantaine de kilomètres de l’arrivée. Il avait «détruit» ses adversaires, comme une semaine plus tôt au Tour des Flandres. Cette fois encore, tout semblait en place pour aboutir au même scénario. Jusqu’à 16 kilomètres de l’arrivée du «Ronde» et un début de crampes pour Cancellara. «C’est un homme comme nous, il a aussi ses faiblesses», a commenté Boonen, quatrième du Tour des Flandres juste derrière son grand rival.
Les autres prétendants:
Depuis son titre mondial acquis à l’automne dernier, Thor Hushovd ne pense qu’au rendez-vous. Le Norvégien, présent sur le podium roubaisien depuis deux ans (3e en 2009, 2e en 2010), veut gagner à Roubaix, où le dernier lauréat habillé du maillot de champion du monde s’appelle Bernard Hinault... en 1981.
Convaincu d’être taillé pour cette course épique depuis qu’il l’a enlevée dans la catégorie espoirs (1998), Hushovd espère tirer parti des conseils d’un ancien vainqueur, le retraité Peter Van Petegem, recruté à cette fin. Et, plus encore, de la supériorité numérique escomptée par son équipe Garmin (Hammond, Haussler, Farrar, Klier), a priori la mieux armée avec la BMC de l’Italien Alessandro Ballan (Quinziato, Burghardt, Hincapie) et la Katusha menée par un autre Italien, Filippo Pozzato (Gusev, Hoste, Ivanov).
Juan Antonio Flecha, qui rêve toujours de devenir le premier Espagnol à figurer au palmarès, bénéficie lui aussi d’un solide entourage chez Sky (Hayman, Wiggins). Avec, pour possible révélation, le poursuiteur gallois Geraint Thomas, remarqué au Tour des Flandres (10e).
Tous savent que le courage et la persévérance sont indispensables dans Paris-Roubaix, course des extrêmes dont les sentes archaïques renvoient un écho de grande modernité. Mais aussi que savoir franchir les pavés - 51,5 km au programme, dont le secteur nouveau de Millonfosse aussitôt après la trouée d’Arenberg - réclame des qualités de puissance et de souplesse qui sont l’apanage des «grands».

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FOOTBALL

Annoncé en Tchétchénie à tort, Zidane se fâche


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Zinédine Zidane

Zinédine Zidane a démenti participer le 9 mai à l’inauguration d’un nouveau stade en Tchétchénie, contrairement à ce qu’annonçait jeudi le ministre des Sports de cette république du Caucase russe.
le 08 avril 2011, 14h39
LeMatin.ch & les agences
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«Je n’ai reçu aucune invitation pour quoi que ce soit. Donc évidemment, non, je ne serai pas là-bas, d’autant que mes activités au Real (conseiller) ne m’auraient de toute manière pas permis d’y être», écrit Zidane sur son site Internet.
«Cela dit, c’est assez agaçant de voir des organisateurs d’événement, et ça arrive de plus en plus souvent, annoncer à la presse ma présence confirmée alors que dans la plupart des cas, c’est faux», a-t-il ajouté.

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Tour du Pays Basque: Freire s'impose, Rodriguez leader


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L'Espagnol Oscar Freire (Rabobank) s'est adjugé au sprint la 5e et avant-dernière étape du Tour du Pays Basque, disputée vendredi sur 177 km entre Eibar et Zalla. Jurgen Vandewalle a pris la 3e place. L'Espagnol Joaquin Rodriguez conserve la tête du classement général à la veille de l'arrivée et du contre-la-montre final.

Malgré sept côtes au programme, la victoire d'étape s'est jouée au sprint. Oscar Freire s'est montré le plus rapide devançant sur la ligne l'Italien Francesco Gavazzi, 2e, et Jurgen Vandewalle. Après deux succès au Tour d'Andalousie, l'Espagnol décroche sa 3e victoire de la saison.

La journée a été marquée notamment par les attaques de Maxime Monfort et Kevin Seeldraeyers qui s'est finalement retrouvé devant après 45 km de course avec son équipier chez Quick Step, l'Italien Dario Cataldo et Michael Albasini. Ce trio a compté juqu'à cinq minutes d'avance, avant d'être repris à 14 km de l'arrivé.

Plusieurs coureurs, dont Jelle Vanendert, ont ensuite tenté leur chance, mais le peloton emmené par les Rabobank ne leur a laissé aucune chance. C'est donc au sprint que la dernière étape en ligne du Tour du Pays Basque s'est jouée.

Le Tour du Pays Basque se terminera samedi par un contre-la-montre individuel de 24 km à Zalla

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automobilisme

Des pneus qui ne tiennent que 8 tours!


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Mark Webber a dominé les essais hier. Mais le facteur pneumatique pourrait influencer grandement la course.

La chaleur et l’abrasivité du circuit de Sepang attaquent les gommes Pirelli. La course pourrait se résumer à un ballet de changements de pneus.
Luc Domenjoz - le 08 avril 2011, 21h46
Le Matin
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Hier soir, les mines étaient longues parmi les techniciens de Pirelli. Pour sa première année en tant que fournisseur exclusif de la F1, le manufacturier italien fait face à un défi de taille ce week-end: une dégradation nettement plus importante que prévu.
Au terme de la première journée d’essais d’hier, les écuries ont constaté que le mélange le plus tendre ne tenait guère plus de… 8 tours avant de se dégrader, alors que le mélange dur partait en lambeaux en moins de 20 tours. Pour «tenir» pendant les 56 boucles du Grand Prix de Malaisie, certains pensent ainsi devoir observer trois, voir quatre arrêts aux stands.
Le règlement contraignant chaque pilote à utiliser les deux mélanges disponibles pendant la course, la clé de la victoire, à Sepang, pourrait dépendre de la gestion des gommes – un petit jeu pour lequel l’écurie Sauber est passée maître. Si l’équipe zurichoise parvenait, par exemple, à limiter ses changements à deux arrêts, ses pilotes pourraient marquer de gros points.
«Spectacle favorisé»
Après les essais d’hier, Paul Hembery, le patron de la compétition chez Pirelli, semblait perplexe: «C’est un circuit très abrasif», reconnaît-il. «Avec la température de l’asphalte qui monte à 50 degrés, il est évident que la dégradation est importante. Mais d’une certaine manière, cela va favoriser le spectacle, c’est le but que nous nous étions fixé. Les ingénieurs des équipes n’aiment pas ça, parce que cela signifie que l’équilibre de la voiture n’arrête pas de changer pendant la course, mais cela peut aussi permettre à de petites équipes de tenter des stratégies plus risquées…»
Le Britannique admet toutefois que ses pneus font face à plusieurs problèmes: «Avec la dégradation observée aujourd’hui, même le mélange dur ne tient que 12 à 14 tours. Mais la situation pourrait s’améliorer pendant le week-end, grâce à la gomme se déposant sur la piste.»
Le patron de Pirelli semble oublier les légendaires orages de Sepang, qui lavent la piste toutes les nuits. «Nous avons aussi des problèmes avec les plaques de gommes qui se détachent des pneus, poursuit-il. Nous allons y réfléchir. Il est évident que lorsqu’elle se dégrade, la gomme doit bien se déposer quelque part…» Hier, les pilotes se sont plaints de plaques noires sur la piste – la gomme déposée – créant des vibrations.
Chez Pirelli, ce week-end, la chaleur de Sepang risque de causer bien des sueurs froides…

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Golf

Les Européens en force


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Quiros est un très long cogneur.

Le Nord-Irlandais McIlroy et l’Espagnol Quiros mènent le bal après un tour.
le 08 avril 2011, 23h15
LeMatin.ch & les agences
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Le Nord-Irlandais Rory McIlroy et l’Espagnol Alvaro Quiros ont frappé fort au 1er tour du Masters d’Augusta (EU), premier Grand Chelem de l’année. Ils ont rendu une carte de 65, à 7 coups sous le par.
Les deux Européens devancent de deux coups les Sud-Coréens Yang Yong-eun et K.J. Choi et de trois les Américains Matt Kuchar et Ricky Barnes. Personne n’avait mieux entamé le Masters depuis la carte de 63 (record du parcours) livrée par l’Australien Greg Norman en 1996.
Par un temps chaud et ensoleillé, McIlroy, parti dans les premiers groupes, a tenu seul en tête pendant l’essentiel de la journée avant que Quiros, parti dans les derniers groupes, ne réalise deux de ses huit birdies sur les deux derniers trous pour partager la tête du classement.
L’Américain Phil Mickelson, tenant du titre et no 3 mondial, a rendu une carte de 70, soit deux coups sous le par, pour occuper le 14e rang ex aequo. Tiger Woods, toujours en quête de sa première victoire depuis novembre 2009, a rendu une carte sous le par (-1), soit un coup de mieux que l’Anglais Lee Westwood, no 2 mondial et 2e à Augusta l’an passé derrière Mickelson.
«J’ai bien putté, avec les bonnes lignes, mais certains de mes putts ont joué avec le bord du trou, a souligné Woods. J’aurais dû finir à 68, 69 coups. Je suis content d’être dans le bon wagon. Je n’ai que six coups de retard ( ndlr: 24e place ex aequo ) et il reste beaucoup de golf à jouer.» Enfin le no 1 mondial, l’Allemand Martin Kaymer, a vécu une première journée cauchemardesque, rendant une carte de 78, six au-dessus du par, ponctuée de six bogeys et un double bogey.

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Voile

Un kit avec aile rigide pour catamarans


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Ce AC 45 est un bateau d’entraînement avec une aile rigide. Les futurs AC 72 de la Coupe de l’America pourraient leur ressembler, en plus imposants.

Les organisateurs de la Coupe de l’America proposent aux équipes un concept de catamaran à aile rigide. Les Challengers pourront utiliser cet apport technique. Ou pas.
Jean-Guy Python - le 08 avril 2011, 23h13
Le Matin
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La 34e édition de la Coupe de l’America – et la Coupe Louis-Vuitton (éliminatoires des Challengers) qui la précédera – aura lieu du 7 au 22 septembre 2013 à San Francisco (Californie). Elle sera disputée sur des AC 72, catamarans de 72 pieds (environ 22 mètres de long). Les organisateurs américains veulent mettre à la disposition des équipes inscrites un plan de catamaran qui serait vendu sous la forme d’une plate-forme générique pouvant être utilisée telle quelle ou développée selon les besoins.
C’est le bureau d’architectes français VPLP (Van Peteghem Lauriot Prévost), basé à Vannes, et la voilerie North qui sont chargés de la réalisation de ce multicoque. Il faut savoir que selon le protocole de la 34e Coupe, les connaissances techniques peuvent être partagées entre les différents challengers, qui ont en outre le loisir de travailler avec les mêmes architectes concepteurs. Forts de cette ouverture, les responsables du management de la prochaine épreuve ont proposé eux-mêmes de mettre à disposition des équipes le concept d’un catamaran à aile rigide, identique pour tous. Libre aux Challengers de l’utiliser ou pas.
Conçu il y a un an
Ce monotype est une sorte de kit de base conçu il y a presque une année selon les connaissances technologiques du moment. «Cette solution a pour but de permettre à toutes les équipes, les plus grandes comme les plus petites, de ne pas se laisser distancer par celles qui sont les plus avancées, a expliqué Iain Murray, responsable des régates pour l’America’s Cup Racing Management (ACRM). Cela leur offrira la possibilité d’être compétitives dans les délais, avant le début des courses d’AC 72 l’année prochaine. Nous voulons aussi nous assurer que toutes les équipes ont accès aux personnes adéquates et aux bonnes technologies pour concevoir un bateau rapide tout en maîtrisant les coûts». Et l’Australien en charge des duels au large de San Francisco ajoute: «Les nouveaux catamarans à aile rigide seront rapides et exigeants physiquement, les régates spectaculaires et passionnantes de bout en bout.»



«Artemis» et Paul Cayard sur le Léman
Parmi les quatorze équipes engagées dans cette 34ème édition de la Coupe, il en est une qui pourrait d’ores et déjà s’inscrire comme le «top team» des Challengers. Il s’agit des Suédois d’«Artemis Racing», entièrement sponsorisés par le «Genevois» Torben Tornqvist. Le résident de Cologny est propriétaire de la multinationale «Gunvor», spécialisée dans le commerce, le transport et le stockage de produits pétroliers, et troisième trader de pétrole brut au monde. Le team «Artemis» a racheté le Décision 35 «Banque Populaire» qui pourrait servir de plate-forme d’entraînement aux Nordiques. Repeint aux couleurs suédoises, le catamaran participera aux Championnats des multicoques lémaniques cette saison. A bord, pour la première régate du Beau Rivage (6 mai), Paul Cayard en personne, le skipper du Challenge suédois. Les premières sorties d’entraînement sont prévues dès fin avril. Parmi l’équipage, Yvan Ravussin qui, assurons-le, saura transmettre ses connaissances lacustres aux gens du nord. Du côté des inscriptions à la 34ème Coupe, à ce jour, douze challengers ont été officiellement acceptés par les organisateurs, mais seulement sept sont identifiés. Ce sont Mascalzone Latino (Italie, challenger of record), Emirates Team New Zealand (Nouvelle-Zélande), Aleph (France), Energy Team (France), Artemis Racing (Suède), Team Australia (Australie) et China Team (Chine).
J.-G. P.

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Djokovic, blessé au genou, fait l'impasse sur Monte Carlo


Le numéro 2 mondial, Novak Djokovic, ne pourra pas poursuivre sa série de victoire lors du Masters Series de Monte Carlo (2,227 millions d'euros) qui démarrera dimanche. Le Serbe de 23 ans doit déclarer forfait en raison de problèmes au genou.

La durée de l'indisponibilité de Djokovic n'est pas encore connue. "C'est une grosse déception," a-t-il déclaré vendredi. "Pas seulement pour mais aussi pour l'organisation du tournoi et mes supporters."

Djokovic n'a pas encore été battu cette saison. En 2001, il a, en effet, remporté 24 rencontres de suite et, du même coup, inscrit l'Open d'Australie, Dubai, Indian Wells et Miami à son palmarès

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Tour du Pays Basque: Freire déclassé, Gavazzi vainqueur, Rodriguez leader


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L'Italien Francesco Gavazzi (Lampre) a été déclaré vainqueur de la 5e et avant-dernière étape du Tour du Pays Basque, disputée vendredi sur 177 km entre Eibar et Zalla, en Espagne. L'Espagnol Oscar Freire (Rabobank) s'était adjugé l'étape au sprint devant Gavazzi et Kristof (BIEN Kristof) Vandewalle, mais il a été déclassé, ce qui offre la victoire à Gavazzi.

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La journée a été marquée notamment par les attaques de Maxime Monfort et Kevin Seeldraeyers qui s'est finalement retrouvé devant après 45 km de course avec son équipier chez Quick Step, l'Italien Dario Cataldo et Michael Albasini. Ce trio a compté juqu'à cinq minutes d'avance, avant d'être repris à 14 km de l'arrivée.

Plusieurs coureurs, dont Jelle Vanendert, ont ensuite tenté leur chance, mais le peloton emmené par les Rabobank ne leur a laissé aucune chance. C'est donc au sprint que la dernière étape en ligne du Tour du Pays Basque s'est jouée, avec une victoire qui est revenue à Gavazzi, Freire étant déclassé.

L'Espagnol Joaquin Rodriguez (Katusha) a conservé la tête du classement général. Le Tour du Pays Basque se terminera samedi par un contre-la-montre individuel de 24 km à Zalla.

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Vettel en pole en Malaisie, Jérôme d'Ambrosio 22e


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L'Allemand Sebastian Vettel (Red Bull) occupera dimanche la pole position du Grand Prix de Malaisie de Formule 1, 2e épreuve de la saison 2011, après avoir réussi le meilleur temps des qualifications, samedi sur le circuit de Sepang.
Le champion du monde en titre a signé sa seconde pole de la saison, après le GP d'Australie, qui avait ouvert la saison fin mars à Melbourne. Il s'élancera aux côtés du Britannique Lewis Hamilton (McLaren-Mercedes).

L'Australien Mark Webber (Red Bull-Renault) et le Britannique Jenson Button (McLaren-Mercedes) partiront de la 2e ligne, en 3e et 4e position. L'Espagnol Fernando Alonso (Ferrari) sera 5e sur la grille, aux côtés de l'Allemand Nick Heidfeld (Lotus-Renault).

Jérôme d'Ambrosio disputera son second Grand Prix d'affilée, dimanche. Le pilote belge de l'écurie Virgin-Cosworth s'élancera en 22e position sur la grille du GP de Malaise, 2e manche du championnat du monde de F1, après avoir signé le 22e temps de la première séance de qualification (Q1) samedi, en 1:41.001.

Il sera aux côtés de son coéquipier allemand Timo Glock, qui a réalisé le 21e temps en 1:40.648. Jérôme d'Ambrosio avait disputé le premier Grand Prix de F1 de sa carrière le 27 mars dernier au GP d'Australie, manche d'ouverture de la saison, à Melbourne, où il avait pris la 14e place.

L'heure de qualifications est divisée en trois parties. Dans la première partie (Q1), toutes les voitures sont en piste pendant 20 minutes. Seuls les 17 meilleurs temps restent en course pour la deuxième phase (Q2), qui dure 15 minutes. Enfin, les 10 meilleures voitures luttent pour la pole position pendant 10 minutes dans la troisième phase (Q3). Les temps sont remis à zéro à la fin des Q1 et Q2.