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Re : Toutes New sportives autres que la moto -
16/04/2011, 19h44
Open de Monte Carlo
Une finale Nadal-Ferrer à Monte-Carlo
Image © KEYSTONE
Nadal est invaincu désormais depuis 36 matches.
Rafael Nadal a dû rester près de trois heures sur le court pour s’imposer 6-4 2-6 6-1 devant Andy Murray (no 3). L’Espagnol disputera ce dimanche une septième finale de rang à Monte-Carlo, contre Ferrer.
le 16 avril 2011, 18h58
LeMatin.ch & les agences
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Rafael Nadal disputera ce dimanche une septième finale de rang à Monte-Carlo.
Victorieux des six premières, le no 1 mondial sera opposé à David Ferrer.
Rafael Nadal a dû rester près de trois heures sur le court pour s’imposer 6-4 2-6 6-1 devant Andy Murray (no 3).
L’Ecossais a fait jeu égal pendant deux sets avant de céder sur le plan physique. Valeureux, Murray a manqué le coche au premier set. Mené 4-1, il parvenait à recoller au score avant de concéder un break fatal au dixième jeu.
Lors de la deuxième manche, son jeu d’attaque lui a permis de déborder le Majorquin. Seulement, son manque de fraîcheur n’a pas pardonné dans un troisième set qui fut malheureusement à sens unique.
David Ferrer (no 4) fut beaucoup plus expéditif devant Jürgen Melzer (no 7), le «tombeur» de Roger Federer. Le Valencien s’est imposé 6-3 6-2 en moins de 80 minutes. Mené 3-1, Ferrer a su exploiter les errements de son adversaire pour retourner la situation avec une très grande aisance.
Nadal mène 11-4 dans ses face-à-face avec Ferrer. Mais le no 1 mondial s’est incliné lors de leur dernier duel, en janvier dernier en quart de finale de l’Open d’Australie. Diminué par une blessure aux adducteurs à Melbourne, Nadal aura soif de revanche en Principauté où il est invaincu désormais depuis... 36 matches.
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Re : Toutes New sportives autres que la moto -
17/04/2011, 06h26
SKI DE VITESSE
Ces romantiques qui plongent dans le vide à plus de 200 km/h
Image © Keystone
Les professionnels de la branche peuvent mettre jusqu’à quarante minutes pour enfiler leur combinaison 100% hermétique.
Ils remettent leur vie en jeu chaque hiver dans des parois verticales, mais s’émeuvent devant une chorale liturgique ou un cafard grassouillet. Quatre skieurs de vitesse ont confessé leurs émois au pied des télécabines de Médran.
Julien Caloz, Verbier - le 16 avril 2011, 19h55
Le Matin Dimanche
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Mme Max Sachs est professeure de céramique et pleure devant ESPN. C’est une artiste. Sa fille Tracie (record personnel: 238,57 km/h) en parle le mieux: «Lorsque j’ai participé à ma première compétition au Colorado, j’ai dit à mes parents que j’allais à la montagne. Ma mère a découvert que je faisais du ski de vitesse en allumant la télévision. Elle a été terrorisée et a fondu en larmes.»
De l’église aux sommets
Découvrir les pratiques douteuses de sa fille n’a rien d’exceptionnel (voir l’émission Toute une histoire du 19 octobre 2009: «J’étais la seule à ne pas savoir») même si, dans le cas qui nous occupe, rien ne prédestinait Tracie Max Sachs – ni les autres d’ailleurs, comme d’habitude – à remettre sa vie en jeu chaque hiver dans des parois verticales.
Jusque-là, la New-Yorkaise sanglotait devant les cafards dodus de la maison de famille: «Ils sont énormes, je te jure»; Ismaël Devènes (record personnel: 210,280 km/h) s’élevait dans la Chorale Caecilia: «Un beau chant, dans la superbe église de Fey, me donne des frissons», alors que Jedrzej Dobrowolski (record personnel: 209,140 km/h) forgeait ses ambitions dans un atelier polonais: «Je suis un artiste sur métal, tu peux l’écrire.»
Mais une curiosité mal placée (au sommet du vide), voire un virage mal négocié ont réorienté le destin de ces enfants de bonnes familles. Devènes: «J’ai failli mourir en mountain bike, il y a neuf ans. J’ai chuté. Ma langue a été coupée en deux. L’accident m’a donné une nouvelle approche de la vie. Depuis, je ne veux plus perdre une seconde. Je suis tout le temps à 200%. Je ne prends même plus de vacances, car je m’emmerde trop.»
Là-haut sur la montagne
A force de remonter la pente, Ismaël a atteint des sommets. «Lorsque tu es au départ et que tu t’apprêtes à t’élancer, il y a une peur qui s’installe. Elle est tout à fait naturelle et permet à ton corps de te mettre en état d’alerte.» Les impressions sont diversement partagées. «Je ne ressens ni peur, ni adrénaline, ni excitation, insiste Max Sachs. En réalité, je branche simplement mon cerveau sur mes skis. Je fixe la piste. Je choisis ma ligne. Je me mets en position. Je sais que, dans moins de six secondes, je serai à plus de 200 km/h. Que je ne toucherai plus le sol. Que je devrai être prête.» Philippe May (record personnel à 250,00 km/h): «Je n’ai jamais eu les jetons. Et puisque l’appréhension est un terme négatif, je préfère parler de respect de la pente.»
Fractures, brûlures, etc.
La hantise du skieur de vitesse, même lorsque celle-ci est banalisée par un discours fanfaron, reste la chute, ou ce qu’elle implique sur un versant incliné à 45 degrés: la mort. Trois décès ont été recensés, dont celui de la Britannique Caitlin Tovar en 2007. «Elle a fait une minuscule erreur au départ, puis elle a plongé dans le vide, frémit Tracie Max Sachs. C’était une grande amie. J’ai changé de portable il y a quelque temps, mais je n’ai pas eu le courage de supprimer son numéro.»
D’ordinaire, une chute n’implique qu’un arrêt de travail navrant (fractures et brûlures sont largement répandues), mais elle peut également engendrer des complications sournoises. «Lorsque tu tombes à 200 km/h, c’est comme si tu étais sur l’autoroute, à la même vitesse, et que tu sautais brusquement de ton véhicule», image Max Sachs. Devenès a ouvert la porte au traumatisme, en 2010 au Canada. «J’ai vu un point rouge, puis plus rien. Je venais de franchir les trois filets de sécurité à 140 km/h. J’ai été choqué. J’ai fait des cauchemars. Je me voyais chuter sur les pistes que j’avais déjà descendues, c’était terrible. Puis il y a eu un deuxième accident, en Finlande, après lequel j’ai voulu tout arrêter. Je n’en pouvais plus. Mais alors que je gisais sur le dos, dans l’aire d’arrivée, Philippe s’est approché de moi et m’a dit: «Tu as une demi-heure pour aller chercher mon casque à l’hôtel et te présenter au départ.». J’ai obéi. Je ne le remercierais jamais assez. Me relever immédiatement m’a permis d’effacer le souvenir de la chute.»
Nounours et chaussettes
Soumis à l’humeur du ciel et au relief louche de la piste, précipité dans le vide selon les appréciations du délégué de course, l’athlète se réfugie immanquablement dans un univers parallèle. «Les Japonais font des incantations avant la compétition, le regard fixé vers le ciel. C’est hallucinant», témoigne Ismaël Devènes, lequel se rapproche chaque jour un peu plus de Roméo, «un ours en peluche qui console plus qu’il ne guérit.» May: «J’ai commencé ma carrière en gardant toujours le même tee-shirt. Mais la pression nuisait à ma performance. Aujourd’hui, je fais juste une petite prière au départ. Je demande à mon papa, que j’ai perdu à six ans, de veiller sur moi. Mais je croise encore des gars qui s’inspirent de leurs sous-vêtements. L’Américain John Dugan, par exemple, garde toujours les mêmes chaussettes. Elles sont toutes pourries, mais il ne veut pas les changer car, dit-il, ce sont ses «chaussettes de courses.» C’est un grand malade!»
Dans un monde instable, la moindre forme de contrôle, même relative, console. «L’équipement reste la seule chose matérielle sur laquelle on peut exercer une influence, explique Tracie Max Sachs. On m’a dit qu’il ne fallait surtout pas que je change de gants ou de casque, sinon j’allais tomber. Mais c’est du flanc. J’ai déjà oublié mon collier magique, et cela ne m’a pas empêché de gagner. D’ailleurs, c’est drôle, car il est encore dans mon sac aujourd’hui. Je vais peut-être le porter à Verbier. Mince, j’en sais rien maintenant!»
Une activité, quatre saisons
Les cogitations – autant que les aléas de la compétition – sont habituellement domestiquées par une préparation intensive. Le matériel est ainsi vérifié plusieurs fois par année à l’Ecole d’ingénieurs de Genève. «Il s’agit d’une soufflerie, au sein de laquelle quatre immenses hélices font un circuit d’air, détaille May. Cela te permet de simuler une descente à 250 km/h. Avant, j’allais jusqu’à dix fois par année au laboratoire d’aérotechnique. Un jour, j’ai même fait trente «descentes». J’étais lessivé. Je n’arrivais plus à parler. Aujourd’hui, je me suis calmé. Je me rends à Genève trois ou quatre fois par année. Pas plus.»
Lorsqu’il n’est pas au chevet de son matériel, le skieur de vitesse rêve – «dans la nuit de mercredi à jeudi, j’ai descendu la piste de Verbier, j’ai senti le vent envelopper ma combinaison», révèle Dobrowolski – ou passe à l’heure d’hiver entre deux barbecues. «Il n’y a pas un jour sans que je pense au ski, avoue Philippe May. Depuis 2002, je ne pars plus en vacances sans prévoir un entraînement sur place. La dernière fois que je suis allé en Floride, j’ai appris qu’il y avait une course de vélo de 280 km à travers l’Etat. Je n’ai pas résisté.»
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17/04/2011, 06h29
Sebastian Vettel partira en pole position en Chine
© ap
© afp
L'Allemand Sebastian Vettel s'élancera en pole position au Grand Prix de Chine de Formule 1, troisième manche du championnat du monde, dimanche sur le circuit de Shanghaï (à partir de 9h00 belge). Le champion du monde en titre réalise sa 3e pole de la saison après celles réalisées en Australie et en Malaisie. Il s'agit de la 18e pole de sa carrière.
Vettel, qui a aussi remporté les deux premiers Grands Prix de la saison, a largement devancé en 1:33.706 les McLaren-Mercedes des Britanniques Jenson Button, 2e à 715/1000es de seconde, et Lewis Hamilton, 3e à 757/1000es. L'Allemand Nico Rosberg (Merccedes) a signé le 4e temps à 964/1000es. Les Ferrari de l'Espagnol Fernando Alonso et du Brésilien Felipe Massa ont réussi les 5e et 6e temps, à respectivement 1.413 et 1.439 seconde, et s'élanceront de la 3e ligne.
Jérôme D'Ambrosio (Virgin-Cosworth) partira de la 21e position.
L'Allemand Michael Schumacher (Mercedes) a dû se contenter de la 12e position et l'Australien Mark Webber (Red Bull-Renault) de la 18e place sur la grille.
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17/04/2011, 06h31
Manchester City bat ManU et va en finale de la Coupe
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Manchester City, dont Vincent Kompany portait le brassard de capitaine, a brisé le rêve de triplé de Manchester United en battant son grand rival en demi-finale de la Coupe d'Angleterre, 1 à 0, samedi à Wembley.
Les "Citizens", vainqueurs grâce à un but de Yaya Touré à la 52e minute, rencontreront en finale le 28 mai le vainqueur du match entre Stoke et Bolton, qui aura lieu dimanche, également à Wembley.
Quel que soit son adversaire en finale, Manchester City sera grand favori pour remporter son premier trophée depuis 1976 (une Coupe de la Ligue) et sa première FA Cup depuis 1969.
Manchester United, en tête de la Premier League avec sept points d'avance sur Arsenal, reste en course pour le doublé Championnat d'Angleterre et Ligue des champions. Il n'y aura en revanche pas de triplé comme en 1999.
Les deux Belges de Manchester City, Vincent Kompany et Dedryck Boyata (resté sur le banc samedi), rejoignent le cercle restreint des joueurs belges ayant pu dipsuter la finale de la "Cup", un trophée qu'aucun footballeur du plat pays n'a jamais soulevé.
Nico Claesen, en 1987 avec Tottenham, et Marouane Fellaini, en 2009 avec Everton, ont joué la finale, une chance que Philippe Albert, avec Newcastle en 1998, et Anthony Vanden Borre, avec Portsmouth l'année dernière, n'ont pas eue, devant suivre la finale du banc de touche. (belga)
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17/04/2011, 06h33
Jérôme D'Ambrosio sur son petit nuage
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Jérôme D'Ambrosio a signé le 21e chrono des qualifications du Grand Prix de chine, samedi à Shanghaï. Il disputera donc dimanche le 3e GP de sa carrière en Chine. Il s'élancera dimanche à partir de de la 11e ligne avec son équipier chez Virgin l'Allemand Timo Glock à ses côtés.
© photo news
D'Ambrosio a tourné en 1:39.119, 589/1000es de seconde plus vite que Glock, auteur du 22e des 24e temps de la séance qualificative (1:39.708).
"Je suis très content", a réagi D'Ambrosio sur le site web de son équipe. "Ce que je retiens aujourd'hui est que je continue de m'améliorer, bien que je doive encore beaucoup apprendre, je vais dans la bonne direction. C'est ce qui est le plus important pour moi. Ce n'est toujours que le début et j'ai beaucoup à faire, mais ma manière de travailler - et celle de tout le monde dans l'équipe - est bonne et les résultats montrent que la direction que nous suivons est la bonne. C'était un bon samedi."
Le manager de l'équipe John Booth était aussi content de notre compatriote: "Jérôme a effectué un travail exceptionnel et tout s'est bien passé pour lui. Après une difficile 3e séance d'essais libres, il a tout remis en place quand cela comptait. Il progresse à chaque course."
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Re : Toutes New sportives autres que la moto -
17/04/2011, 06h34
Contador vainqueur de la 4e étape du Tour de Castille et Leon
© epa
L'Espagnol Alberto Contador (Saxo Bank) a remporté samedi la 4e étape du Tour de Castille et Leon (cat. 2.1), un contre-la-montre individuel de 11,2 km à Zamora à l'issue duquel son compatriote Xavier Tondo (Movistar) est devenu le nouveau leader de l'épreuve.
Contador s'est imposé en 13:42 avec une seconde d'avance sur l'Australien Richie Porte et 3 secondes sur Xavier Tondo.
Tondo s'installe en tête du général, où il a détrôné le Néerlandais Bauke Mollema (Rabobank), 4e samedi à 15 secondes de Contador. Mollema est désormais 2e du général, à 9 secondes de Tondo.
Le Tour de Castille et Leon se terminera dimanche par la 5e étape, qui reliera Madrigal de Las Altas Torres à Medina del Campo sur une distance de 167,7 km.
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17/04/2011, 06h38
Auto - Formule1
Sébastien Buemi: côtoyer le danger sans le courtiser
16.04.2011 16:18 - mise à jour: 18:49 Buemi: un regard déterminé qui en dit long sur son envie de durer en F1. [Red Bull Photofiles - DR - DR]
Il y a un an jour pour jour, Sébastien Buemi était victime d'un accident rarissime. Lancé à plus de 300km/h, le Vaudois perdait ses deux roues avant lors des essais du GP de Chine! "A la télévision, l'accident a l'air très spectaculaire, mais quand tu pilotes la voiture, c'est moins fort". L'occasion pour tsrsport.ch d'évoquer le danger avec le pilote Toro Rosso.
Une mésaventure incroyable pour Sébastien Buemi. [DR] 16 avril 2010: Sébastien Buemi dispute la première séance d'essais libres du Grand Prix de Chine à Shanghai. Au 6e tour, le pilote Toro Rosso, lancé à 300km/h, est victime d'un problème mécanique aussi rarissime que spectaculaire. En pleine ligne droite, le Vaudois perd les deux roues avant et sort de route sans la moindre égratignure! En cause, des pièces reliant les roues aux suspensions.
"Les pilotes sont dépendants du matériel", expliquera Sébastien Buemi. Pour le meilleur et pour le pire. Le danger? Buemi, Vettel & Cie vous diront qu'ils le côtoient, comme bien d'autres sports, sans le courtiser.
"Le risque zéro n'existe pas"
tsrsport.ch: Quelles qualités doit avoir un pilote pour arriver en F1?
SEBASTIEN BUEMI: Il doit avant tout être un très gros travailleur et être parfaitement préparé aussi bien physiquement que psychologiquement. Tous les pilotes arrivés en F1 sont très doués. Mais le talent ne suffit pas. A part pour Raikkonen, il y a quelques années, arriver et s'asseoir simplement dans la voiture ne suffit plus.
Il faut en plus être très discipliné et persévérant. Si l'on ne fait pas le maximum dans chaque compartiment, on ne va pas réussir à faire la différence. Et même en faisant le maximum, parfois cela ne fonctionne pas.
Buemi: "Le pilote est dépendant de la mécanique" [DR] tsrsport.ch: La F1 est souvent associée au danger. Sur un circuit, comment faites-vous abstraction de cet élément?
SEBASTIEN BUEMI: Comme dans n'importe quel autre sport, on sait que l'on peut se faire mal mais on n'y pense pas. C'est vrai que le risque zéro n'existe pas mais la Formule 1 est devenue un sport très sûr de nos jours.
tsrsport.ch: L'année dernière lors des essais du GP de Chine vous aviez perdu les 2 roues avant! Impossible de contrôler quoi que ce soit dans cette situation.
SEBASTIEN BUEMI: Il n'y avait rien à faire. Les pilotes sont dépendants du matériel. Les ingénieurs avaient essayé une pièce plus légère qui n'avait pas tenu le choc. Cela aurait pu être plus grave. Cela fait partie du sport...
"Pas de restriction chez Red Bull"
tsrsport.ch: Y-a-t-il une clause dans votre contrat qui vous interdise de pratiquer des activités risquées?
SEBASTIEN BUEMI: De nombreuses écuries imposent des restrictions à leurs pilotes. Pas chez nous car cela ne corres pond pas à la philosophie de Red Bull. Red Bull c'est fun, c'est jeune. Mais il faut être conscient que c'est à mes risques et périls. Si je me fais mal, un autre prendra immédiatement ma place.
tsrsport.ch: Avez-vous des rituels avant un GP?
SEBASTIEN BUEMI: Peut-être dans ma préparation... Je rentre toujours du côté gauche de la voiture et j'en sors toujours du côté gauche. Dans l'ensemble, je ne suis pas tellement superstitieux. Ce qui m'importe est d'avoir fait le maximum.
"Je pense F1 7 jours sur 7"
tsrsport.ch: Votre famille est mordue de sports motorisés. Quelle est son influence dans votre carrière? SEBASTIEN BUEMI: Mes parents, mon frère, mes grands-parents... Tous les gens qui m'entourent ont dû faire d'énormes sacrifices Le casque du Vaudois est facilement reconnaissable aux drapeaux suisses. [DR] pour que j'arrive là où j'en suis aujourd'hui. Ma famille a fait autant de sacrifices que moi, si ce n'est plus! Je lui en suis très reconnaissant. Elle vit cette passion à travers moi.
tsrsport.ch: En dehors de la F1, que faites- vous?
SEBASTIEN BUEMI: Ma vie est accaparée par la préparation des courses à venir. A moi de trouver le bon compromis entre la préparation, le repos et aussi un peu l'amusement. Je pense "F1" 7 jours sur 7, mais il faut aussi quelques petits moments durant lesquels je m'évade. Sinon, je ne pense pas que cela soit possible de donner le maximum.
Je fais des choses normales, comme passer du temps avec ma famille, mes amis, aller au cinéma... Je suis telle ment peu souvent en Suisse (ndlr: Sébastien Buemi réside à Monaco) que je profite de ces moments.
Propos recueillis par Miguel Bao
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17/04/2011, 19h36
Philippe Gilbert s'adjuge Amstel Gold Race
© photo news
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7S7 mise à jour Déjà Vainqueur en 2010, Philippe Gilbert (Omega Pharma-Lotto) a remporté dimanche pour la deuxième fois l'Amstel Gold Race, la classique cycliste néerlandaise courue sur 260,4 km de Maastricht à Valkenburg.
Gilbert, qui a couru en patron un an après son premier succès, s'est dégagé dans la montée finale du Cauberg pour devancer nettement l'Espagnol Joaquin Rodriguez et l'Australien Simon Gerrans. Björn Leukemans a terminé 7e et Ben Hermans 8e. Le Luxembourgeois Andy Schleck, parti à l'attaque à 11 kilomètres de l'arrivée, a été rejoint dans le Cauberg où Gilbert a été le seul à suivre Rodriguez, le premier à démarrer.
La course s'est dénouée dans les 15 derniers kilomètres, bien après la fin de l'échappée de quatre coureurs (Timmer, Degand, De Negri, Ponzi) lancée dès le matin. Frank Schleck a été retardé en même temps que le Suisse Fabian Cancellara par une chute survenue à 23 kilomètres de l'arrivée.
Andy Schleck est passé à l'offensive après le Keutenberg, l'avant-dernière des 32 côtes du parcours, suite à deux premiers démarrages de l'équipe Katusha (J. Rodriguez, Kolobnev). Sans s'affoler, Gilbert bien appuyé par ses équipiers Jelle Vanendert et Jurgen Van den Broeck a maintenu un écart limité à une dizaine de secondes. Puis, le vainqueur sortant a pris la poursuite à son compte pour se rapprocher du cadet des Schleck au pied du Cauberg.
Le Wallon, qui est âgé de 28 ans, a signé sa deuxième victoire de la semaine, après la Flèche brabançonne. Il compte à son palmarès plusieurs classiques d'importance, notamment Paris-Tours (2008 et 2009) et le Tour de Lombardie (2009 et 2010). Il est aussi le premier coureur à réussir le doublé dans la classique néerlandaise, 31 ans après les quatre succès consécutifs du Néerlandais Jan Raas (1977-1980). .
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17/04/2011, 19h40
Hamilton remporte le GP de Chine, D'Ambrosio 20e
© epa
7S7 mise à jour Le pilote britannique Lewis Hamilton, de l'écurie McLaren-Mercedes, a remporté dimanche à Shanghai le Grand Prix de Chine de Formule 1, devançant le champion du monde en titre Sebastian Vettel (Red Bull-Renault), 2e à 5.198 secondes, et Mark Webber (Red Bull-Renault), 3e à 7.555 secondes. Notre compatriote Jérôme D'Ambrosio, qui disputait son 3e Grand Prix, a terminé la course en 20e position à 2 tours.
© afp
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Le champion 2008 a tiré parti d'une stratégie différente -trois changements de pneus pour lui, contre deux pour Vettel- et de pneus plus frais en fin de course pour dépasser le champion en titre et leader du général, qui ne remporte donc pas son cinquième GP d'affilée. L'Allemand n'a pas non plus égalé son compatriote Michael Schumacher, dernier pilote à avoir débuté une saison par trois succès (en 2004).
Une aubaine pour le Championnat, dont l'intérêt aurait pu s'émousser au fil de la domination implacable de l'Allemand, déjà vainqueur des deux premiers GP et auteur des trois pole positions de la saison.
Troisième, Mark Webber a réalisé une course exceptionnelle. Parti 18e sur la grille après une erreur de gommes en qualifications samedi, l'Australien a multiplié les dépassements pour se hisser sur le podium.
Ont encore marqué des points dimanche l'Allemand Nico Rosberg (Mercedes) 5e, le Brésilien Felipe Massa (Ferrari) 6e, l'Espagnol Fernando Alonso (Ferrari) 7e, l'Allemand Michael Schumacher (Mercedes) 8e, le Russe Vitaly Petrov (Lotus-Renault) 9e et le Japonais Kamui Kobayashi (Sauber-Ferrari) 10e.
Hamilton a remporté la 15e victoire de sa carrière, la première depuis son succès à Spa Francorchamps en 2010. Vettel, qui avait remporté les deux premiers Grands Prix de la saison, conserve la tête du championnat avec 68 points, devant Hamilton, 47, et le Britannique Jenson Button, 4e dimanche, qui en compte 38. Au classement des constructeurs, Red Bull reste en tête avec 105 points, devant McLaren (85) et Ferrari (50).
Le 4e Grand Prix de la saison se courra le 8 mai en Turquie sur le circuit de l'Istanbul Park. (belga/7sur7)
Classement du GP de Chine
1. Lewis Hamilton (G-B/McLaren-Mercedes) les 305,066 km en 1h36:58.226 (moyenne: 188,758 km/h)
2. Sebastian Vettel (All/Red Bull-Renault) à 5.198
3. Mark Webber (Aus/Red Bull-Renault) 7.555
4. Jenson Button (G-B/McLaren-Mercedes) 10.000
5. Nico Rosberg (All/Mercedes) 13.448
6. Felipe Massa (Bré/Ferrari) 15.840
7. Fernando Alonso (Esp/Ferrari) 30.622
8. Michael Schumacher (All/Mercedes) 31.026
9. Vitaly Petrov (Rus/Lotus-Renault) 57.404
10. Kamui Kobayashi (Jap/Sauber-Ferrari) 1:03.273
11. Paul di Resta (G-B/Force India-Mercedes) 1:08.757
12. Nick Heidfeld (All/Lotus-Renault) 1:12.739
13. Rubens Barrichello (Bré/Williams-Cosworth) 1:30.189
14. Sébastien Buemi (Sui/Toro Rosso-Ferrari) 1:30.671
15. Adrian Sutil (All/Force India-Mercedes) à 1 tour
16. Heikki Kovalainen (Fin/Team Lotus) 1 tour
17. Sergio Perez (Mex/Sauber-Ferrari) 1 tour
18. Pastor Maldonado (Ven/Williams-Cosworth) 1 tour
19. Jarno Trulli (Ita/Team Lotus) 1 tour
20. Jérôme D'Ambrosio (Bel/Virgin-Cosworth) 2 tours
21. Timo Glock (All/Virgin-Cosworth) 2 tours
22. Narain Karthikeyan (Ind/Hispania-Cosworth) 2 tours
23. Vitantonio Liuzzi (Ita/Hispania-Cosworth) 2 tours
Abandon: Jaime Alguersuari (Esp/Toro Rosso), roue mal fixée après changement au 10e tour
Classement des pilotes
1. Sebastian Vettel (All) 68 pts
2. Lewis Hamilton (G-B) 47
3. Jenson Button (G-B) 38
4. Mark Webber (Aus) 37
5. Fernando Alonso (Esp) 26
6. Felipe Massa (Bré) 24
7. Vitaly Petrov (Rus) 17
8. Nick Heidfeld (All) 15
9. Nico Rosberg (All) 10
10. Kamui Kobayashi (Jap) 7
11. Michael Schumacher (All) 6
12. Sébastien Buemi (Sui) 4
13. Adrian Sutil (All) 2
14. Paul di Resta (G-B) 2
Classement des constructeurs
1. Red Bull 105 pts
2. McLaren 85
3. Ferrari 50
4. Lotus-Renault 32
5. Mercedes GP 16
6. Sauber 7
7. Toro Rosso 4
8. Force India 4.
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Le Real et le Barça se neutralisent
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7S7 mise à jour Le premier Clasico a débouché sur un match nul entre les deux ogres du football espagnol (1-1). Après avoir ouvert le score par Messi, les Catalans se sont fait rejoindre en fin de match sur un penalty de Cristiano Ronaldo. En infériorité numérique, le Real a montré que l'écart qui le séparait de son grand rival n'était pas aussi grand qu'on a bien voulu nous le faire croire. Dans l'optique des trois prochains Clasicos, le vainqueur moral, c'est peut-être lui.
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Barcelone est reparti de Madrid avec un point. Ce qu'il était venu chercher en fait. Un bon résultat pour les Catalans, qui gardent leurs 8 points d'avance en tête de la Liga et qui devrait leur permettre d'être sacrés champions d'Espagne dans quelques semaines.
Mais en y regardant de plus près, ce match nul n'est pas un si bon résultat que ça. Parce que le Barça peut nourrir des regrets et surtout, se dire que son grand rival n'est pas très loin de lui.
Albiol exclu, Messi ouvre la marque
Pourquoi avoir des regrets? Car les champions d'Espagne avaient la rencontre en main lorsqu'ils ont ouvert la marque sur un penalty de Lionel Messi, consécutif à une charge d'Albiol sur Villa (53e). Penalty, carte rouge, 0-1: plus rien ne pouvait arriver aux Catalans.
Le Real a du mérite
Mais même à dix contre onze, les Madrilènes, eux, n'ont pas abdiqué. Mieux, ils parvenaient à se créer plusieurs réelles opportunités et il fallait une jambe d'un défenseur ou un grand Valdès pour éviter l'égalisation.
Finalement, elle intervenait méritoirement à dix minutes du terme: Alvès taclait Marcelo et l'arbitre accordait (généreusement) un penalty que Cristiano Ronaldo transformait.
Messi vs Ronaldo
Avant ça, lors de la première mi-temps, les hommes de José Mourinho sont apparus bien en place, tentant d'exploiter au mieux les pertes de balles adverses. Sans pour autant être toujours en réussite face à la maîtrise de l'adversaire, la Maison Blanche a posé bien des problèmes à l'arrière garde catalane, où Puyol faisait son retour.
Les occasions? Pour Ronaldo par deux fois à Madrid, pour... Messi par deux fois au Barça. Un vrai match dans le match entre les deux meilleurs joueurs du monde. Le Portugais aura marqué pour la première fois contre le Barça tandis que l'Argentin a scoré pour la première fois contre une équipe dirigée par Mourinho. Voilà pour les premières.
Mercredi, Coupe du Roi
1-1: tout le monde a donc de quoi se montrer satisfait. Mais pas le temps de digérer ce premier Clasico pour autant: les deux équipes repartiront au clash dès mercredi, avec la finale de la Coupe du Roi. Le Real pourra s'inspirer de sa prestation de ce soir pour tenter d'enlever son premier trophée depuis longtemps. Tout ça, alors que la Ligue des Champions arrive à toute allure. On n'a pas fini de parler d'eux.
Julien Collignon
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