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Re : Toutes New sportives autres que la moto -
27/05/2011, 09h50
FOOTBALL
Lara Dickenmann: "J'ai enchaîné sans réfléchir"
Image © KEYSTONE
Lara Dickenmann
LIGUE DES CHAMPIONS DAMES. Il était presque minuit dans les travées de Craven Cottage lorsque la capitaine de l’équipe de Suisse et buteuse de l'Olympique lyonnais est apparue, radieuse et incroyablement zen. Paroles de la championne d’Europe.
Mathieu Aeschmann - le 27 mai 2011, 08h36
Le Matin
Votre coach vient de déclarer: «Lara nous a mis un but d’anthologie comme d’habitude.» Que se passe-t-il sur cette action décisive?
Lorsque j’ai vu Eugénie déborder sur la droite, j’ai cherché à m’écarter pour me procurer un peu d’espace. Et comme elle a délivré le centre parfait que j’ai pu contrôler du gauche. Le contrôle est déterminant parce qu’il me permet d’enchaîner la frappe avec juste un rebond et un appui rapide. De toute façon, je n’avais pas trop de temps à disposition avec une adversaire si proche. Alors j’ai enchaîné sans réfléchir.
Vous voilà enfin championne d’Europe avec l’OL. Quel sentiment prédomine?
C’est assez difficile à décrire. Vous savez, la Ligue des champions représentait notre objectif absolu dès le début de saison. Le coach en avait fait une priorité, sans se cacher. La pression était donc immense. Alors venir ici, résister à la pression et arracher la victoire, on peut difficilement faire mieux comme sensation.
En seconde période, vous n’avez pas arrêté de presser, de vous découvrir, au risque de subir un contre. L’attaque à outrance, c’est le style de l’OL?
Oui. En plus aujourd’hui face à cette belle équipe allemande on avait énormément de peine à conserver le ballon et à le faire tourner. Du coup, le match ne pouvait être qu’ouvert. Cela dit, l’OL ne peut pas se permettre de juste vouloir défendre. Notre meilleure défense reste l’attaque.
Vous n’étiez pas trop déçue de ne pas commencer le match?
Au début de la semaine, lorsque j’ai vu que je n’allais pas être titulaire, c’était un peu dur. Mais après, il faut se mettre dans la tête que nous sommes une équipe et que seul le résultat final compte. En plus, comme notre entraîneur a toujours fait des bons choix, il n’y a rien à dire. Et franchement même si une joueuse préfère toujours débuter, ça me convient très bien de terminer une partie comme aujourd’hui.
Place maintenant à la fête. Quel est le programme?
En fait, on rentre à Lyon tout de suite avec nos supporters. L’avion devrait atterrir vers 3 h 30 ce qui fait un peu juste pour une boîte de nuit, surtout un jeudi soir. Une chose est sûre, on va rester ensemble pour terminer la nuit. Et la grosse fête aura peut-être plutôt lieu vendredi ou dimanche, à notre retour de Toulouse où nous jouons notre dernier match de championnat.
Bravo Lara,Lyon peut te faire une statue, vive la SUISSE
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Re : Toutes New sportives autres que la moto -
28/05/2011, 05h54
TENNIS
Comment l’oublier?
Image © Keystone
Stan Wawrinka aura-t-il la même rage, demain contre Federer, qu’il a eue hier face à Tsonga?
Demain, Stanislas Wawrinka, qui a battu hier Jo-Wilfried Tsonga en cinq manches, ne luttera pas seulement contre Roger Federer, mais contre l’admiration inavouable qu’il voue à son aîné. Ce sera le dixième duel entre les deux Suisses, le Bâlois a gagné neuf fois.
Christian Despont - le 27 mai 2011, 23h39
Le Matin
Roland-Garros
A peine plausible, l’idée de retrouvailles entre Roger Federer et Stanislas Wawrinka est d’abord parue excitante puis, en d’inévitables réminiscences, malencontreuse. Comment oublier? Aucun de ces duels fratricides n’a réellement revêtu d’intérêt, que ce soit dans la dimension sportive ou, à moins d’être sadique, dans sa dramaturgie. Le dernier en date, à Melbourne, fut presque insoutenable (6-1 6-3 6-3).
Stanislas Wawrinka ne l’a pas oublié. Comment l’oublier? «Je prends une branlée. Je viens de réaliser un superparcours et, là, je me sens totalement impuissant. Roger est plus fort que moi, je le sais. Mais en plus, il fait tout pour que je joue mal. Et je joue très mal… C’est une frustration énorme, insupportable. J’ai envie de prendre mon sac et de partir», expliquait-il a posteriori, au cours d’un long aparté.
Dimanche, les champions olympiques livreront leur dixième confrontation. Roger Federer n’en a perdu qu’une seule, à Monte-Carlo, quelques jours après son mariage. Les bégaiements de l’histoire se nourrissent des inhibitions de Stanislas Wawrinka, pour lequel ces retrouvailles exigeront, outre des aptitudes à l’exploit, une grande faculté d’amnésie.
«Je le dis: j’ai un problème contre Roger, confessait encore le Vaudois. Lui et moi, nous avons une relation très forte, très segmentée. Personne ne connaît notre histoire et personne ne la connaîtra jamais. Quand j’étais un débutant sur le circuit, Roger m’a offert son aide. Je ne sais pas si nous pouvons parler de blocage, mais, sur un court, je ne peux pas oublier ce que nous avons vécu ensemble. Je suis incapable d’en faire abstraction; mais il faudra bien trouver une solution… »
Ces solutions n’existent pas dans les livres, mais peut-être ailleurs. Contre Jo-Wilfried Tsonga, Stanislas Wawrinka s’est convaincu – ou pas – qu’en termes de ténacité et de tempérament, il est au moins l’égal de Roger Federer. «Remonter un handicap de deux sets, avec un break de retard au troisième, contre un joueur français, sur le central de Roland-Garros, est pour moi une très grande victoire, peut-être la plus belle.»
Roué de coups droits pendant deux heures, tandis que le puncheur français brandissait ses biceps bouffis d’orgueil à la foule excitée, Stanislas Wawrinka a résisté bravement, puis brillamment, en donnant de la profondeur à ses frappes. «Jo a baissé d’intensité. Je me suis accroché. En cassant ma raquette, j’ai aussi libéré une certaine frustration, même si je n’en suis pas fier. Maintenant, je veux savourer pleinement, sans penser au lendemain.» Score: 4-6 6-7 (3) 7-6 (4) 6-2 6-3.
Il est aussi une qualité dont Stanislas Wawrinka peut se targuer auprès de quiconque sur le circuit: son revers. «Si Federer avait la même faculté de rabattre une balle à hauteur d’épaules, il n’aurait pas perdu aussi souvent contre Nadal», soutient Julien Boutter, ancien joueur devenu consultant sur Canal+.
Dans sa langue maternelle, Roger Federer avoue, lui aussi, quelque ambivalence affective à affronter un ami, «des proches comme Chiudinelli ou Lammer», mais une capacité d’abstraction infaillible «contre Stan». Rien ne comptera, pas même d’ailleurs cette victoire en trois sets acquise ici même, l’an dernier: «Le contexte sera différent. Stan réalise sa meilleure année sur le circuit. Il croit davantage en lui.» Croire pour oublier.
Le cœur léger, Roger Federer vole
Il semble que depuis le début de la quinzaine, personne ne soit aussi à l’aise que Roger Federer. A l’aise sur ses ergots de monstre sacré, chaque jour, face aux conjectures des antéchrists.
A l’aise dans ses mouvements, face à des adversaires inutiles, tous éconduits en moins de deux heures. Janko Tipsarevic fut le troisième (6-1 6-4 6-3).
Quand Rafael Nadal «ne joue pas bien» et «bouge mal», selon ses termes; quand Novak Djokovic, au gré de sa rapide ascension, sent la pression monter et éprouve le besoin de respirer, Roger Federer promène ses certitudes devant les foules acquises, un rien joueur, complètement relax, tout en touché et en grâce.
Il confirme volontiers: «L’atmosphère reste capricieuse, avec le vent et les nuages noirs. Mais je suis content de mes choix, notamment de mon service. J’ai réussi à apporter une grande variété.» Mixité parfaite: longueurs, effets, placements.
«Je suis en paix avec mon jeu.»
Comme le veut la tradition, Roger Federer fut invité à débattre des passations de pouvoir qui, symboliquement, marquent une rupture avec une époque – la sienne. Le maître a tout juste sourcillé: «Je ne sais pas où vous étiez il y a trois ans mais, ici, Rafa était déjà le favori. Ce n’est pas la première fois. L’attention est davantage concentrée sur Novak et Rafa, sans aucun doute. Je ne suis pas mécontent d’abandonner un peu de cette pression endossée pendant sept ans. Mais pour un numéro trois mondial, soyez sans crainte, il reste quelques attentes.»
Le Bâlois remarque d’ailleurs que «les gradins sont pleins», et que «les gens crient mon nom quand je passe en voiture». En France, pays du beau et du noble, la popularité n’est pas indexée à un classement, immonde mesquinerie, mais à l’élégance suprême du Suisse, dont le raffinement va jusqu’à parler le français.
Roger Federer ne prend pas ombrage, dès lors, de ses deux matinées sur le court Suzanne Lenglen, où la contemplation reste pieuse. «C’est très beau.
Il y a de nouveaux vestiaires, un nouveau salon, une nouvelle garderie. Mais bien sûr, j’espère retourner sur le central.»
Il est à l’aise, oui. Et peut-être davantage qu’il ne le soupçonne lui-même, dans ses postures de monstre notoire. «M’avez-vous déjà vu stressé? Je ne crois pas, ou alors pas plus de cinq minutes.»
Ch. D.
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28/05/2011, 05h56
cyclisme
Le cadeau de Contador
Image © Keystone
Alberto Contador a estimé que Paolo Tiralongo méritait de s’imposer.
L’Espagnol a offert la victoire à son ancien coéquipier Paolo Tiralongo.
le 27 mai 2011, 23h35
LeMatin.ch & les agences
Tour d’Italie Macugnana
Paolo Tiralongo (Astana) a remporté la 19e étape du Tour d’Italie à Macugnaga. L’Italien a terminé devant Alberto Contador (Saxo Bank), qui lui a offert la victoire. Au pied du Mont- Rose, Contador a distribué les bons points. Il a contrôlé ses adversaires directs qui n’ont pu le suivre dans les deux derniers kilomètres de la montée finale et a franchi la ligne derrière Tiralongo, à qui il avait conseillé d’attaquer à 6 kilomètres de la ligne.
«Je le remercie, a déclaré le Sicilien très ému après l’arrivée. C’est lui qui m’a incité à attaquer. Alberto est un champion dont le cyclisme a besoin.» Dans le final, le grimpeur vénézuélien José Rujano a lâché prise et a perdu plus de deux minutes sur ses rivaux directs. Par la suite, le maillot rose s’est défendu en souriant d’avoir joué le Père Noël à l’égard de son ancien lieutenant: «Il a travaillé pour moi toute l’année passée et notamment dans le Tour. Il est fort, il a du talent, il a attaqué trois fois. Moi, j’avais surtout en tête le classement général.»
Courue le plus souvent sous la pluie, la course a été animée par une échappée qui comprenait notamment Johann Tschopp. Autre événement du jour, Marco Pinotti s’est fracturé le bassin dans une chute sur la route mouillée.
Aujourd’hui, la 20e étape s’attaque au Colle delle Fenestre (2178 m d’altitude), une ascension de 18,5 kilomètres dont les 7800 derniers mètres se disputent sur des chemins de terre, avant une descente technique et la remontée vers Sestrières.
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28/05/2011, 05h58
football
Deux géants pour un sacre
Image © Keystone
Manchester United et Barcelone ont rendez-vous ce soir dans le temple de Wembley (20 h 45).
Mathieu Aeschmann - le 27 mai 2011, 23h13
Le Matin
Le dilemme de Sir Alex
Pour sa quatrième finale de Ligue des champions, Alex Ferguson doit gérer un casse-tête inédit.
La faute au pedigree exceptionnel de l’adversaire, cet expert inégalé en séquestration de balle. Manchester United choisira-t-il ce soir de densifier son milieu de terrain pour mieux se projeter dans l’espace en utilisant la vitesse de Valencia? Ou reconduira-t-il le onze type de sa deuxième moitié de saison avec les seuls Giggs et Carrick dans l’entrejeu? Le débat fait rage dans la presse anglaise, chacun susurrant à Sir Alex sa formule forcément magique. «J’ajouterais Daren Fletcher au milieu pour qu’il fasse ce qu’il sait si bien faire: courir partout», a conseillé hier le Gunner Jack Wilshere. Un retour à l’historique 4-3-3 européen de MU qui aurait pour effet de laisser Chicharito sur le banc, laissant les responsabilités offensives au seul Rooney, soutenu sur les ailes par Valencia et Ji Sung Park.
Maturité tactique
«Il faut leur rentrer dedans, reprenait le jeune international anglais, les forcer à jouer dans leur moitié de terrain.» Si le constat de principe plaît au manager mancunien, ce dernier semble ne pas vouloir suivre les mêmes méthodes pour arriver à ses fins.
Car selon les dernières indiscrétions en provenance des terrains d’entraînement, Rooney et Hernandez pourraient bien se voir de nouveau associés à la pointe d’un 4-4-1-1 résolument offensif. Une option qui, si elle devait se confirmer, enverrait le lutin mexicain dévorer la profondeur pour empêcher l’axe central catalan d’évoluer trop haut. «Vous savez, Manchester peut jouer de manière totalement différente, notait jeudi un Xavi admiratif. Ils savent attaquer, se replier en défense et miser sur la contre-attaque. Le côté très versatile de leur jeu prouve l’énorme travail réalisé par Alex Ferguson.» Véritable marque de fabrique, la flexibilité tactique de MU fait peur jusqu’au plus génial adversaire. Mais elle a certainement assuré une ultime nuit blanche à son manager.
«Mourinho m’a souhaité bonne chance. Rien de plus»
Sir Alex Ferguson s’est présenté hier soir devant la presse escorté de ses deux cerbères préférés, Rio Ferdinand et Nemanja Vidic. «Deux joueurs vitaux pour nous», a-t-il lancé en guise d’introduction. Le signe d’un MU résolument défensif ce soir? «Il serait stupide de ne pas reconnaître les qualités de l’adversaire, répliqua le manager. Mais mon équipe possède la maturité nécessaire pour tirer le maximum de ses propres qualités.» Difficile d’interpréter les réponses du vieux sage, parfaitement rompu à cet exercice de cache-cache médiatique. Seuls moments d’emportement recensés, une réponse cinglante sur le prétendu avantage physique de MU sur balles arrêtées. «Vous croyez que Piqué, Puyol ou Abidal ne sautent pas haut?» Puis un hommage appuyé à Chicharito. «Personne dans le club ne voyait le gamin livrer une saison aussi brillante. J’espère qu’il va la conclure en trombe ici.» Pas dit que la dédicace lui assure une place de titulaire.
Guardiola pour le titre no 10
La perfection use. Si bien que Pep Guardiola pourrait diriger ce soir son Barça pour la dernière fois. Ereinté par l’abominable succession de clasicos, le technicien blaugrana ne cesse d’avouer des signes d’usure. Quoi de plus chevaleresque, du coup, que de tirer sa révérence après un triomphe sur la pelouse où tout avait commencé, en 1992?
La «dream team» de Cruyff écartait ce soir-là la Sampdoria pour enfin consacrer sa virtuosité sur la scène européenne. Une expérience fondatrice pour son jeune milieu de terrain. «Ce titre fut une véritable libération pour le club, reconnaît Guardiola.
Car nous ne pouvions pas être considérés comme une grande équipe sans un sacre.»
Autrement dit, le plus beau jeu de la planète football n’est rien, s’il ne mène pas à la victoire.
Une double quête esthétique et statistique qui a conduit depuis trois ans le Barça de Guardiola à proposer des instants de football éthérés. Tout en complétant la vitrine du club de 9 trophées sur un total de 12 compétitions, record en cours.
Au regard de l’ampleur de ces chiffres, il n’y a guère de révolution à attendre ce soir sur la pelouse de Wembley.
Pour vaincre une dixième fois, l’armada blaugrana cherchera d’abord à monopoliser le ballon. Un exercice presque identitaire dans lequel il s’améliore chaque année (73% de possession en CL cette saison contre 65% en 08-09). Le seul point d’interrogation catalan se situe au niveau de l’aile gauche de sa défense. Les rescapés Puyol et Abidal ont-ils récupéré la totalité de leurs capacités? Si Guardiola en doute, il pourrait ne titulariser que Puyol à gauche et reconduire Mascherano dans l’axe aux côtés de Piqué.
Une hésitation qui, hier, n’intéressait pas la presse anglaise, occupée à s’incliner devant le phénomène Messi.
«Je n’ai jamais vu un joueur d’instinct travailler si dur, écrivait Tony Cascarino dans le Times. Même pas Pelé ou Cruyff. (…) Selon moi, à 23 ans, Messi est le meilleur joueur de l’histoire.»
«Il faudra mieux jouer qu’en 2009»
Preuve du crédit dont jouit son équipe, Pep Guardiola a hier soir dû davantage parler d’histoire que des enjeux immédiats. «Impossible de comparer les époques, répondit calmement l’homme aux neuf trophées. Mais si dans quinze ans on se souvient de notre jeu, alors j’en tirerais une certaine satisfaction.» Que penser de cette «finale de la décennie» entre deux clubs qui atteignent pour la troisième fois en quatre ans l’eldorado continental? «A nous de prouver sur la pelouse en soignant le ballon et le jeu que ce qualificatif n’est pas erroné.» Précédé de Carles Puyol et Victor Valdes, le coach catalan en a profité pour donner des nouvelles rassurantes des deux «revenants». «Puyol et Abidal sont prêts à tenir leur place. La décision me revient maintenant de les aligner d’entrée ou non. Mais la façon dont ils ont lutté pour retrouver la forme constitue un beau symbole de la détermination qui nous anime avant cette finale.» Le décor est planté.
Le programme
LIGUE DES CHAMPIONS, FINALE (à Londres)
20.45 Barcelone - Manchester United (TSR2)
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Re : Toutes New sportives autres que la moto -
28/05/2011, 06h00
Djokovic/Del Potro: match arrêté par la nuit, un set partout
© ap
Le match du troisième tour de Roland-Garros entre le Serbe Novak Djokovic, tête de série N.2, et l'Argentin Juan Martin Del Potro (N.25), a été arrêté à un set partout vendredi soir, à la tombée de la nuit.
La décision des organisateurs du tournoi d'avoir programmé aussi tardivement ce match tant attendu, entre les deux seuls joueurs autres que Nadal et Federer à avoir remporté un Grand Chelem depuis 2004, fera débat.
Après un premier set dans lequel le Serbe, invaincu depuis le début de l'année, soit 39 matches sans défaites, s'est montré nettement supérieur (6-3), en s'appuyant sur ses atouts principaux, le retour et le revers, et aussi quelques amorties bien senties, les débats se sont équilibrés.
Dans des conditions de visibilité réduite, les deux acteurs ont alors offert au public ce qu'il attendait, se rendant coup pour coup, dans des échanges d'une violence extrême.
Del Potro, seulement tête de série N.25 à Paris, après avoir chuté au classement mondial en raison d'une blessure au poignet droit, a commencé à faire parler sa puissance.
L'Argentin a breaké à 2-1 sur une double faute de Djokovic. Le Serbe a commis quatre fautes dans ce seul jeu, une rareté pour lui cette année. Il a aussi montré quelques signes d'agacement peu coutumiers, se plaignant notamment de l'obscurité.
Del Potro, tout juste remis d'une blessure à une hanche, a sauvé deux balles de break dans le jeu suivant. Décidé à ne pas subir le jeu, il a lâché chacun de ses coups, et sauvé deux autres balles avec deux aces.
L'Argentin a finalement remporté le premier set de sa carrière face au Serbe (6-3), qui mène 3-0 dans leurs confrontations particulières.
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Re : Toutes New sportives autres que la moto -
28/05/2011, 06h01
Philippe Gilbert nouveau leader du Tour de Belgique
© belga
Le Lituanien Aidis Kruopis (Landbouwkrediet) a remporté la 3e étape du 81e Tour de Belgique, disputée vendredi sur 187 km entre Knokke-Heist et Ypres, où Philippe Gilbert a dépossédé son équipier allemand André Greipel de son maillot noir de leader.
Kruopis, 24 ans, s'est imposé au sprint devant les Néerlandais Stefan Van Dijk et Pim Ligthart. Le premier Belge est Pieter Ghyllebert à la 5e place.
L'étape a été animée par cinq coureurs, Jens Mouris, Koen Barbé, Luca Paolini, Niko Eeckhout et Marcus Burghardt. Les cinq fuyards, partis dès le 7e kilomètre, ont été repris à 20 km de l'arrivée dans la 2e ascension du Mont Kemmel, où Philippe Gilbert est passé en premier, prenant au passage des bonifications lui permettant de prendre la tête du classement général.
Le Remoucastrien devance désormais Greipel d'une seconde. Dominique Cornu est 3e à 0:04.
Samedi, l'étape 'reine' conduira les coureurs de Bertem à Eupen sur 202 km, avec plusieurs côtes au programme en fin de parcours, dont la côte de Stockeu, à 67 km de l'arrivée.
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Re : Toutes New sportives autres que la moto -
28/05/2011, 06h05
Monfils, Gasquet et Bartoli qualifiés, Tsonga éliminé
© reuters
Avec Gaël Monfils, Richard Gasquet et Marion Bartoli, la France a placé vendredi trois représentants en huitièmes de finale de Roland-Garros mais perdu Tsonga, malgré deux sets d'avance. Au lieu d'un superbe Grand Chelem, cela restera l'un des plus grands regrets de la quinzaine.
Alors que Roger Federer et un troisième huitième de finale de suite à Paris attendaient Tsonga, un autre Suisse, Stanislas Wawrinka, lui a violemment claqué la porte au nez. Dominateur pendant deux sets et demi, Tsonga a mené 6-4, 7-6, 4-2 lorsque Wawrinka, un spécialiste des retournements de situation, a entamé sa superbe rébellion avec plusieurs passing de revers qui ont fait vaciller "Big Jo".
Au marché noir, les tarifs grimpent
Tsonga a eu une dernière ouverture, à 5-5 au tie-break, avant de s'embourber définitivement pour laisser Wawrinka retrouver Federer, alors que les vendeurs de billet au marché noir avaient déjà augmenté leurs tarifs pour dimanche.
"C'est sûr que j'aurais pu passer et jouer Federer derrière. Mais je ne fais pas un mauvais Roland-Garros car je ne suis pas si loin de mon objectif qui était de faire aussi bien que l'année dernière", a commenté le Manceau.
Il reste néanmoins de belles affiches avec participation française dimanche, comme le choc entre Gaël Monfils et David Ferrer et celui qui opposera Gasquet au vainqueur du duel entre Novak Djokovic et Juan Martin Del Potro. Pour cause d'embouteillages sur le Central, le grand choc de la première semaine n'a commencé que peu avant 20h00 sur le Suzanne-Lenglen et n'avait pratiquement aucune chance de finir avant la tombée de la nuit.
Djokovic et Del Potro devront donc revenir samedi, pendant que Gasquet se reposera après sa victoire (6-2, 6-3, 3-6, 6-3) sur le Brésilien Tomaz Bellucci qui lui permet d'atteindre pour la première fois la deuxième semaine à Paris.
"C'est mon match le plus abouti ici, c'est une grande victoire et un moment fort émotionnellement. Le public a été énorme", a-t-il souligné après avoir enflammé le stade en faisant admirer sa technique pendant deux sets et sa combativité, une facette plus rare chez lui, ensuite. "Je ne voulais pas que ça m'échappe, parce que je sentais la fatigue arriver", a ajouté le N.2 français qui jouera désormais "sans pression" mais avec "l'envie" de faire un gros match dimanche.
"Moyen"
C'est ce qu'attend également Monfils. Le Parisien a qualifié de "moyen" ses trois premiers matches, y compris celui face au Belge Steve Darcis (6-3, 6-4, 7-5), et affirme: "si je joue comme ça contre Ferrer je vais me faire déchirer!" L'Espagnol, N.7 mondial est impressionnant depuis le début du tournoi (21 jeux perdus en 9 sets). Mais Monfils l'a battu deux fois sur deux, notamment en quarts de finale à Roland-Garros en 2008, et connaît aussi sa propre capacité à "changer du tout au tout en 24 heures".
Avec deux huitièmes de finalistes assurés dans le tableau masculin, la France fait déjà mieux que l'année dernière et Gilles Simon, opposé samedi à l'Américain Mardy Fish, peut encore améliorer le bilan. Dernière en lice chez les filles, Bartoli a, elle, égalé son meilleur résultat à Paris, en renversant la vapeur face à l'Allemande Julia Görges 3-6, 6-2, 6-4 pour remporter son troisième match en trois sets en trois tours.
La N.1 tricolore fait désormais face à un petit boulevard avec les éliminations de Samantha Stosur, finaliste sortante, et Caroline Wozniacki, N.1 mondiale. Au lieu de Stosur, la N.1 française retrouvera l'Argentine Gisela Dulko, "une bonne opportunité pour aller en quarts de finale", a-t-elle reconnu, impatience de retrouver son public avec lequel elle a l'impression d'être "entrée en communion" cette semaine. (afp/dl)
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Re : Toutes New sportives autres que la moto -
28/05/2011, 06h23
Spectaculaire crash entre Alinghi et Team Extreme
Voile | Lors du 3ème acte du Extreme Sailing Series à Istanbul, les bateaux des deux équipes sont rentrés en collision.
© Youtube / Capture d'écran |
X-A. E. | 27.05.2011 | 16:23
Alors qu'il essayait de s'aligner derrière Team Extreme, Alinghi a percuté de plein fouet son concurrent. Un membre d'équipage de chaque bateau est tombé à l'eau. Les deux bateaux ont été fortement endommagés. Yves Detrey a été légèrement blessé dans l'accident.
http://www.youtube.com/watch?feature...&v=tDyKaZH9Gxs
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As du pilotage
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Re : Toutes New sportives autres que la moto -
28/05/2011, 14h51
Citation:
Envoyé par Norton
Monfils, Gasquet et Bartoli qualifiés, Tsonga éliminé
© reuters
Avec Gaël Monfils, Richard Gasquet et Marion Bartoli, la France a placé vendredi trois représentants en huitièmes de finale de Roland-Garros mais perdu Tsonga, malgré deux sets d'avance. Au lieu d'un superbe Grand Chelem, cela restera l'un des plus grands regrets de la quinzaine.
Alors que Roger Federer et un troisième huitième de finale de suite à Paris attendaient Tsonga, un autre Suisse, Stanislas Wawrinka, lui a violemment claqué la porte au nez. Dominateur pendant deux sets et demi, Tsonga a mené 6-4, 7-6, 4-2 lorsque Wawrinka, un spécialiste des retournements de situation, a entamé sa superbe rébellion avec plusieurs passing de revers qui ont fait vaciller "Big Jo".
Au marché noir, les tarifs grimpent
Tsonga a eu une dernière ouverture, à 5-5 au tie-break, avant de s'embourber définitivement pour laisser Wawrinka retrouver Federer, alors que les vendeurs de billet au marché noir avaient déjà augmenté leurs tarifs pour dimanche.
"C'est sûr que j'aurais pu passer et jouer Federer derrière. Mais je ne fais pas un mauvais Roland-Garros car je ne suis pas si loin de mon objectif qui était de faire aussi bien que l'année dernière", a commenté le Manceau.
Il reste néanmoins de belles affiches avec participation française dimanche, comme le choc entre Gaël Monfils et David Ferrer et celui qui opposera Gasquet au vainqueur du duel entre Novak Djokovic et Juan Martin Del Potro. Pour cause d'embouteillages sur le Central, le grand choc de la première semaine n'a commencé que peu avant 20h00 sur le Suzanne-Lenglen et n'avait pratiquement aucune chance de finir avant la tombée de la nuit.
Djokovic et Del Potro devront donc revenir samedi, pendant que Gasquet se reposera après sa victoire (6-2, 6-3, 3-6, 6-3) sur le Brésilien Tomaz Bellucci qui lui permet d'atteindre pour la première fois la deuxième semaine à Paris.
"C'est mon match le plus abouti ici, c'est une grande victoire et un moment fort émotionnellement. Le public a été énorme", a-t-il souligné après avoir enflammé le stade en faisant admirer sa technique pendant deux sets et sa combativité, une facette plus rare chez lui, ensuite. "Je ne voulais pas que ça m'échappe, parce que je sentais la fatigue arriver", a ajouté le N.2 français qui jouera désormais "sans pression" mais avec "l'envie" de faire un gros match dimanche.
"Moyen"
C'est ce qu'attend également Monfils. Le Parisien a qualifié de "moyen" ses trois premiers matches, y compris celui face au Belge Steve Darcis (6-3, 6-4, 7-5), et affirme: "si je joue comme ça contre Ferrer je vais me faire déchirer!" L'Espagnol, N.7 mondial est impressionnant depuis le début du tournoi (21 jeux perdus en 9 sets). Mais Monfils l'a battu deux fois sur deux, notamment en quarts de finale à Roland-Garros en 2008, et connaît aussi sa propre capacité à "changer du tout au tout en 24 heures".
Avec deux huitièmes de finalistes assurés dans le tableau masculin, la France fait déjà mieux que l'année dernière et Gilles Simon, opposé samedi à l'Américain Mardy Fish, peut encore améliorer le bilan. Dernière en lice chez les filles, Bartoli a, elle, égalé son meilleur résultat à Paris, en renversant la vapeur face à l'Allemande Julia Görges 3-6, 6-2, 6-4 pour remporter son troisième match en trois sets en trois tours.
La N.1 tricolore fait désormais face à un petit boulevard avec les éliminations de Samantha Stosur, finaliste sortante, et Caroline Wozniacki, N.1 mondiale. Au lieu de Stosur, la N.1 française retrouvera l'Argentine Gisela Dulko, "une bonne opportunité pour aller en quarts de finale", a-t-elle reconnu, impatience de retrouver son public avec lequel elle a l'impression d'être "entrée en communion" cette semaine. (afp/dl)
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Tsonga , encore un Français qu'on croyait capable de rivalisé avec le gratin , mais qui ne fais que très rarement des coups d'éclats !! Pour ma part , c'est + une déception qu'autre chose , la preuve en est encore a Rolland Garros !!
Boire tue , Fumer tue ! Dois-je rester sobre pour devenir éternel ?
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Re : Toutes New sportives autres que la moto -
28/05/2011, 15h15
Pour moi ce n'est même pas une surprise, comme Monfils c'est un bon joueur qui peut faire un exploit de temps en temps mais son niveau ne lui permettra pas de remporter de titres du Grand Chelem. Il peut remporter RG, US Open ou Australian Open mais seulement si les Djoko, Fed' ou Nadal ne sont pas en grande forme.Hier il perd contre un gars de son niveau, ça aurait pu passer, mais non. Tant pis...
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