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La Skoda Rapid Spaceback s’attaque aux compactes

Offensive

—
Rythme soutenu pour les nouveaux produits que Skoda présente cette année: l’Octavia, berline et break, le facelift de la Superb, la Rapid trois portes et enfin la Spaceback. Le Yeti retouché suivra cet hiver.
Par Gil Egger, Vérone (Italie). Mis à jour le 13.10.2013

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L’offensive de Skoda consiste à élargir sa gamme en présentant notamment la Rapid Spaceback, une compacte inédite jusqu’à ce jour, et à viser le million et demi de voitures par an en 2018.
Image: Uli Sonntag
Les 4 détails


Skoda a inventé ce gadget utile: cacher un grattoir dans le portillon du réservoir d’essence pour l’avoir à portée de main. (Image: DR)
Selon le niveau d’équipement, la console comprend un navigateur, mais l’écran est petit et les options multimédias limitées. (Image: Uli Sonntag)
L’inclinaison du pare-brise et du hayon rapproche la ligne de celle d’une compacte, malgré le volume d’un petit break. (Image: DR)
La planche du fond du coffre peut être installée à deux hauteurs pour faciliter le chargement ou augmenter la capacité. (Image: DR)
La planche du fond du coffre peut être installée à deux hauteurs pour faciliter le chargement ou augmenter la capacité. (Image: Uli Sonntag)
Fiche technique

Skoda Rapid Spaceback 1,4 TSI

Dimensions (L x l x H) 4,30 x 1,70 x 1,46 m
Empattement 2,60 m
Places 5
Coffre 415 l (1380 dossiers arrière rabattus)
Poids 1225 kg
Prix 22 430 fr. (prime de lancement 1900 fr. à déduire)

Moteur

Cylindres 4 turbo
Cylindrée 1390 cm3
Boîte auto DSG 7 rapports
Chevaux (kW) 122 (90)
Couple maxi 200 Nm
Aides à la conduite ABS, contrôle de stabilité, HHC (hill hold control) aide au démarrage en côte, contrôle
de la pression des pneus

Performances

Vitesse max. 203 km/h
0-100 km/h 9’’4

Consommation

Mixte normalisée 5,4 l/100 km
Émissions de CO2 125 g/km
Étiquette énergie D
Autres versions 1,2 TSI 105 ch (77 kW) 6 vitesses manuelles dès 19 130 fr.; diesel 1,6 TDI 105 ch (77 kW) 5 vitesses manuelles dès 22 130 fr. (prime de lancement 1900 fr. à déduire)

Garantie

2 ans

Comment gérer la multitude des voitures construites par un groupe aussi diversifié que l’est Volkswagen? (VW 168.2 -0.09%) En choisissant soigneusement de les différencier afin d’éviter le cannibalisme. Une stratégie qui conduit Skoda à présenter sa Spaceback comme faisant partie de la classe des compactes à hayon alors qu’elle se rapproche curieusement d’un break! Il faut dire que le segment appelé «classe Golf» est le plus convoité et le plus gros en Europe. La berline Rapid, une trois volumes, se vend mieux en Asie ou en Amérique du Sud, régions friandes de cette architecture, rendant nécessaire la version à cinq portes.
Séduire les jeunes et les familles
Skoda a particulièrement soigné l’espace intérieur. Malgré une pente du hayon très inclinée, le coffre offre 415 l de volume. Les ingénieurs l’ont voulu malin et ont installé un double plancher, en option. Cela facilite le chargement et le déchargement quand la planche est en position supérieure, cela permet d’emporter de plus gros objets quand on la range au fond. De même, le cache-bagages peut être placé verticalement derrière les dossiers. Enfin, le volume maximum de 1380 l se rapproche de celui d’un petit break. L’un des points forts se trouve à l’arrière, où les passagers disposent d’une place généreuse. Sur le plan de la taille, la nouvelle venue se situe entre la Fabia et l’Octavia.
La tâche des dessinateurs était complexe puisqu’il fallait éviter de se positionner trop près de la grande référence VW Golf, ou de ses cousines de chez Seat par exemple. Rien à inventer pour ce qui concerne l’avant, identique à la trois volumes. Ils ont réussi à créer une silhouette élégante, très fidèle aux canons fixés par Skoda ces dernières années. Dire que son sex-appeal va bouleverser les jeunes serait exagéré, mais elle a une certaine fraîcheur et la Spaceback saura les convaincre par ses autres arguments, qui consistent en un rapport qualité/prix attractif et ses aspects pratiques. Les finitions respectent les standards du groupe, c’est-à-dire qu’elles sont précises et soignées. Quelques éléments de décor, comme une applique en métal brossé en face du passager, des coloris modernes, font un clin d’œil aux moins âgés. La personnalisation est évidemment possible, on notera l’immense toit vitré, qui se poursuit jusqu’au hayon pour dessiner une ligne plus originale que celle du modèle de base. Le choix entre trois moteurs
La Skoda Rapid Spaceback arrive le 25 octobre avec deux moteurs à essence et un diesel. Ce dernier n’a pas de mal à entraîner la voiture, qui pèse environ 1200 kg, tout en affichant des émissions de CO2 de moins de 100g/km. Il reste toutefois assez bruyant et sa boîte manuelle se contente de cinq rapports. Les Suisses opteront volontiers pour les deux moteurs à essence. Le 1,4l TSI, déjà bien répandu dans le groupe VW, accouplé à l’excellente boîte à double embrayage DSG à sept vitesses, donne un tempérament pimenté à cette Rapid avec ses 122 ch. Le châssis, lui aussi connu, ajoute la précision à un comportement très sain, même sur route mouillée comme ce fut le cas dans les alentours de Vérone. Le plus petit, le 1,2 l de 105 ch, avec boîte manuelle à six rapports, présente évidemment l’avantage du prix, il est affiché à 19 130 fr., mais Skoda offre une prime de 1900 fr., ce qui le place en bonne position concurrentielle à 17 230 fr. De quoi aider la marque basée en République tchèque à atteindre son objectif de vendre en 2018 un million de véhicules par an dans les cent pays où elle les commercialise. (Le Matin)

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Automobile

L'Aston Martin V12 Vantage S en a sous le capot

Par Christine Talos. Mis à jour le 09.10.2013 2 Commentaires

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Alors qu’Aston Martin vient d’annoncer l’arrêt de la production de sa petite «Cygnet», les premiers tests de son nouveau bolide, la V12 Vantage S, s’annoncent très prometteurs.

1/9 La V12 Vantage S représente la voiture la plus rapide du constructeur anglais. Grâce à son moteur V12 6,0 litres de 565 chevaux, la voiture peut atteindre une vitesse maximale de 328 km/h et boucle le 0-100 km/h en 3,97 secondes.
DR


http://www.24heures.ch/auto-moto/ast...story/19327155


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C’en est fini de la «Cygnet», la petite voiture du constructeur anglais Aston Martin. Made in «Gaydon», comme tous les bolides de la marque, elle n’a jamais réussi à trouver son public (elle s’est vendue à peine à 150 exemplaires) et a contribué aux pertes d’Aston Martin en 2012. Le constructeur a donc décidé de se recentrer sur son créneau, le luxe, avec la «V12 Vantage S», présentée au récent salon de Francfort et dont les premiers essais par la presse spécialisée viennent de sortir.
« La V12 Vantage S, qui remplace la V12 Vantage, est une voiture de sport moderne aux valeurs classiques. Puissante, charismatique et d’un style inimitable avec un caractère athlétique exceptionnel, elle est l’Aston Martin la plus rapide et la plus dynamique qui ait jamais existé», souligne le CEO Ulrich Bez. Elle associe la légendaire puissance du moteur V12 au châssis le plus compact et le plus agile de la série Vantage.
Grâce à son moteur V12 6,0 litres AM28 de 573 PS (565 chevaux), la voiture, si chère dans le cœur des fans de James Bond, peut du coup atteindre une vitesse maximale de 328 km/h et boucle le 0-100 km/h en seulement 3,7 secondes. Du jamais vu chez le constructeur anglais.
Trois modèles de conduite
A cela il faut ajouter trois modèles de conduite selon les conditions de route. Par une simple pression, le conducteur pourra ainsi basculer en modes «normal », «sport», «track» et ainsi déterminer les réglages des amortisseurs tout en commandant l'ouverture des clapets à l'échappement.
Le bolide, qui consomme quand même en moyenne 16,4 litres/100 km, arbore aussi une nouvelle calandre en fibre de carbone, optimisée pour garantir son équilibre aérodynamique et augmenter la circulation d’air de refroidissement vers le moteur. «Chaque élément de la V12 Vantage S a été soigneusement adapté pour atteindre le stade ultime de performances», vante la marque sur son catalogue.
Voilà pour ses performances sur le papier. Mais dans la réalité, qu’en est-il ? Le magazine anglais autocar a pu tester le nouveau fleuron d’Aston Martin. S’il s’extasie devant ses capacités, il s’étonne toutefois du bruit du bolide. «A première vue, vous pensez immédiatement qu’une Vantage ne devrait pas faire autant de bruit qu’un moteur de 6 L, mais celle-ci le fait bien. »
Plus de 200'000 francs
Le magazine souligne aussi ses doutes quant au remplacement du boîtier manuel 6 vitesses par une boite de vitesse robotisée à sept rapports, grâce au partenariat d’Aston Martin avec Sportsshift. Il critique également l’embrayage. «Pa rapport à ceux montés sur la PDK de Porsche et la S tronic d’Audi, elle est un peu dépassée.» Un souci qui disparaît dès que le bolide se lance dans une montée. Et se fait carrément oublier grâce la direction assistée particulièrement rapide et affûtée.
Conclusion du magazine anglais: cette Aston Martin V12 Vantage S, encore bien analogique, est rafraichissante dans un monde toujours plus numérique. «Si vous n’appréciez pas spécialement les systèmes électroniques profondément intégrés des concurrentes de la voiture, alors celle-ci est faite pour vous. » Il vous faudra juste débourser la modique somme de 204'330 francs, prix d’entrée pour vous offrir ce petit bijou so british. (Newsnet)

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Les plus belles motos du grand salon de Milan

Nouveautés 2014 

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Le salon a été le théâtre d’une révolution de genre opérée par Harley Davidson avec l’apparition spectaculaire d’une 500 cm3 et d’une 750 cm3.
Par Claude Bovey/Milan. Mis à jour le 07.11.2013 1 Commentaire

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1/17 Harley-Davidson Street
Avec la Street, Harley-Davidson vise le marché des jeunes évoluant dans un milieu urbain. La marque américaine s'ouvre ainsi d'autres horizons.




Harley-Davidson persiste et signe: sa stratégie n’est plus de se contenter de fabriquer des motos pour une clientèle supertypée, mais bien de se mettre à l’écoute de tous les clients potentiels. Histoire de connaître besoins et envies. Le succès global est à ce prix.
C’est donc en écoutant 1600 motards du monde entier que la décision a été prise d’agrandir le clan. Après le projet Rushmore, dévoilé en août dernier, qui faisait la part belle à quantité d’améliorations apportées aux modèles haut de gamme de la famille Touring, Harley-Davidson voici donc une nouvelle famille: les «Street», qui viennent compléter l’offre des Sportster, Dyna, Softail, V-Rod et Touring.
Basse, fine, racée et agressive, elle ne pèse que 240 kilos. Un record pour une Harley! De quoi laisser présager un comportement ultramaniable «in the City». Et son prix sera fixé «au-dessous de celui de la Sportster Iron», soit la Harley la moins chère à l’heure actuelle, qui se négocie à 11 000 francs. De quoi rêver à une «HD», marque premium réputée chère, pour moins de 10 000 francs.
Petite soit, mais 100% Harley
Sans oublier que la Street reste, avant tout, une vraie Harley: elle est conçue de telle manière qu’elle permettra à chacun de personnaliser sa moto, même selon les délires les plus fous.
Destinée à une clientèle jeune et urbaine, la «petite» sera proposée en deux motorisations: soit un V-Twin de 500 cm3, soit un bloc de 750 cm3 entièrement refroidi par eau et baptisé «Revolution X». Une technologie nécessaire si la Street entend jouer les frimeuses dans les rues des mégapoles surchauffées. Imaginez la chaleur au beau milieu de l’été à Mexico ou à Sydney! On le voit, Harley-Davidson se donne les bons moyens pour devenir global.
En Suisse, la Street ne devrait pas arriver avant l’été prochain et en version 750 cm3. La première vague de livraisons du printemps 2014 concernera les pays nord-américains, les pays d’Europe du Sud – qui seront particulièrement gâtés – et l’Inde, là où elle est construite. Mais pas de souci: Harley assure que la rigueur des standards de fabrication sera calquée sur celle de l’usine de Kansas City qui, elle, approvisionnera les clients américains.

http://www.lematin.ch/auto-moto/Les-...story/13692733

[Charles ingalls]

Comment dire


http://www.moto-journal.fr/photos/pr...250r-de-route/


C est gp replica, j aime à fond

[Bilou]

Envoyé par Charles ingalls

Comment dire


http://www.moto-journal.fr/photos/pr...250r-de-route/


C est gp replica, j aime à fond

Oui, super sympa !!

Voilà qui me rappelle la 400 NSR, la Réplica Honda des années 80's, sortie en 1985 .
Cette dernière faisait 72 ch , donc très proche de cette 250, mais avec un poids nettement supérieur (163kg) .

[Xor]

Envoyé par Charles ingalls

Comment dire


http://www.moto-journal.fr/photos/pr...250r-de-route/


C est gp replica, j aime à fond

C'est dommage, pour une fois que je trouve une Honda bandante, ce ne sont pas eux qui l'ont faite...

Un gros gros regret tout d'un coup de ne plus pouvoir faire de moto !

[SophieT]

Envoyé par Norton

Ay ay caramba, quelle auto!

Test

—
Compacte, esthétique et économique, la Seat Leon cumule les bons points.
Par Philippe Clément. Mis à jour le 03.05.2013 3 Commentaires

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Seat leon FR 1.4 TSI (dès 29650 fr.)

Cylindrée: 1395 cm3.
Puissance: 140 ch de 4500 à 6000 tr/min.
Couple: 250 Nm de 1500 à 3500 tr/min.
Transmission: aux roues AV.
Boîte: manuelle à 6 rapports.
Dimensions (Lxlxh):4,26 x 1,78 x 1,46 m. Empattement: 2,64 m.
Coffre: de 380 à 1210 l. Poids: 1231 kg.
Performances: 211 km/h. 0-100:8’’2. Conso: 5,8 l/100km.
Emissions de CO2: 119 g/km.
Etiquette énergie: C
BIEN VU

Juste parfait, ce TSI 1,4! Petit, donc peu gourmand, il tire profit du turbo pour pallier son manque de couple. Le punch arrive très tôt et permet une conduite fun. Surtout en mode sport.
MAL VU

Black is beautiful, certes. Mais même le plus gothique des fans de Seat devra quand même bien admettre que, tout noir, cet intérieur est un rien rébarbatif. De l’audace, por favor!

On a beau dire, c’est beau, l’Europe! Tiens, prenez l’Espagne, par exemple. Un pays exsangue, en plein marasme, rongé par la crise et le chômage. Tout va mal? Non. Car, du côté de Martorell, un petit village résiste!
Soutenue par l’armada du Volkswagen Group, Seat déploie des efforts méritoires pour sortir de l’anonymat qui l’a longtemps plombé.
Dernier cheval de bataille en date, la Leon symbolise à elle seule ce formidable redressement. Belle, racée, elle aimante le regard d’une œillade de ses phares soulignés d’un trait de LED. Mais le meilleur est à venir: sous le capot de notre FR battait l’un des meilleurs «cœurs» du marché: le TSI 1.4 de Wolfsburg.
Un petit moteur qui n’a l’air de rien mais qui, par la grâce d’un turbo, offre à la sémillante ibère des performances dignes d’un 2.0?litres. Economie de carburant en plus.
Ce d’autant plus que notre modèle de test permettait le choix entre 4 modes: éco, normal, sport ou individuel. Et était doté d’un système stop & start idéal pour rouler malin en ville.
Au bout du compte, une moyenne de 5,8?l/100?km, pour une conduite assez sportive: qui dit mieux!
Et puis il y a ces petits «gadgets», souvent dispensables, mais qui rendent la vie à bord sympa. Un menu déroulant donnant toutes les indications sur la consommation ou la température des fluides, le morceau MP3 en lecture via Bluetooth, les indications du GPS ou la température extérieure.
Sans oublier le confort soigné, la place dans le coffre et l’accès facile aux cinq places… N’en jetez plus: le test est convaincant. Très convaincant même, surtout au vu du prix raisonnable. ? (Le Matin)

C'est ma titine