Salut à tous,
Aller, comme promis, voici un petit CR sur notre trip en Corse à moto.
Tout d’abord, notre voyage s’étendait sur 7 jours complets, et minutieusement préparé par l’ami Xabi via des Road Book,… de toute beauté ! (comme l’île !!!).
Je suis partie avec ma CB500F et Chris avec sa BMW K1300S. On a dû investir dans un petit peu dans des équipements, notamment : pneus neufs pour les 2 bécanes, bulle pour ma CB, intercom Scala Rider, GPS moto, sac de selle et de réservoir, combi pluie (au cas où), nouvelles bottes pour moi (pour en avoir 2 paires), et je crois que c’est à peu près tout. ^^ Ca nous aura peut-être couté plus cher que le voyage en lui-même… quoi que le péage en Italie, je l’ai encore en travers…
(je vous raconterai en temps voulu).
Le voyage était divisé en deux parties, d’abord le sud avec notre point d’ancrage à Propriano (dimanche à mardi), puis le nord avec un appart de luxe près de Bastia chez des hôtes incroyablement sympathiques (mercredi à samedi) !!!
Voilà, maintenant que le décor est posé, on va y aller jour après jour… vous êtes prêts ?
…. C’est parti !
J-1 : Nyon – Toulon ; départ pour la Corse
Et bien, le temps de charger les motos, on part tranquillement le samedi matin. On décide de diviser le trajet en trois parties : autoroute jusqu’à Grenoble, Route Napoléon jusqu’à Gap puis re-autoroute jusqu’à Toulon.
Excepté le fait qu’il faisait un peu froid pour aller sur Gap (merci la petite veste pluie qui fait coupe-vent) et que l’autoroute est très monotone (surtout à moto), la route s’est bien déroulée et sommes arrivés à bon port (c’est le cas de le dire !), 2 heures avant le départ du bateau.
Embarquement (première fois pour moi… héhé !) un peu bordélique, on nous balade de droite à gauche, pour finalement nous faire descendre au niveau d’en-dessous… du coup, dans la précipitation on oublie de regarder à quel niveau on est. Comme on faisait la traversée durant la nuit, nous avions pris le soin de réserver deux couchettes pour se reposer avant le premier jour en Corse.
Le lendemain matin, au moment de débarquer, comme on ne se souvenait plus du niveau, on a commencé à attendre à un endroit et puis comme il faisait vraiment trop étouffant, le temps qu’on décide de nous ouvrir les portes du garage, on décide de remonter et essayer de passer par un autre garage (on était pressés car on avait retiré tous les bagages et devions prendre le temps de les remettre avant de sortir du bateau).
Finalement, l’accès nous a été donné et avons enfin peu sortir de ce four !