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Re : Informations en Vrack
Je ne le connaissais pas, mais mes condoléances à sa ses proches. Une année noire :langueŽ:
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MOTOCROSS
Supercross: «Et il ne s’est pas relevé» http://www.lematin.ch/files/imagecac...s/45802267.JPG Image © Keystone Marc Ristori en 2007 Daniel Perroud revient sur le pire moment de sa vie d’organisateur. C’était il y a trois ans, le 30 novembre 2007. Marc Ristori venait de tomber à Palexpo. Jean-Claude Schertenleib - le 02 décembre 2010, 20h36 Le Matin 0 commentaires SUPERCROSS DE GENÈVE GLAND Ce soir et demain, dans un Palexpo surchauffé, il y aura des cris, une sono qui abrutira de décibels une foule en délire. Il y aura des chutes, c’est toujours ainsi dans cette discipline; c’était le cas il y a 25 ans, lors de la première du Supercross de Genève, ce le sera encore tout à l’heure. La chute, les médecins qui se précipitent, un pilote évacué sur une civière qui, quelques minutes plus tard, se relève et n’a qu’une envie, reprendre sa moto: créateur de l’événement avec Didier Genecand, Daniel Perroud a vu ces images des dizaines de fois. Ou quand la douleur n’est que passagère. La première série Et puis il y a eu ce triste vendredi soir 30 novembre 2007: «C’était la première série; normalement, à ce moment de la soirée, je me trouvais toujours en régie. Mais, là, je ne sais pas pourquoi, j’étais sur la piste. Quelqu’un venait de tomber, je n’ai pas vu de qui il s’agissait. Je me suis approché, un mécanicien poussait la moto numéro 8, celle de Marco.» Marco, c’est Marc Ristori, un garçon que Perroud a pris sous son aile, qu’il aime comme ses propres enfants: «C’est Risto?» questionnais-je. Et le gars m’a répondu oui, d’une drôle de façon. Une dizaine de minutes plus tard, j’étais à l’infirmerie.» La voix de Daniel Perroud est hésitante. Il se tait. Il pleure. Il s’excuse: «Désolé, mais c’est encore trop présent. La cicatrice se referme, certes, mais on en voit toujours les contours.» Silence. L’organisateur respire profondément: «A ce moment, le toubib m’a dit: «Il n’y a pas d’espoir.» Ce n’était pas possible, Marco allait pouvoir remarcher, tu déconnes, docteur. Pendant quelques secondes, j’en suis venu à le haïr, juste parce qu’il me disait la vérité.» C’était il y a trois ans. Un homme de défis Ce soir, à Palexpo, Daniel Perroud sera aux côtés de Marc Ristori pour la présentation du nouveau défi du pilote: «Marco est plus que jamais un exemple pour nous tous, un porteur d’espoirs. Il n’a jamais arrêté d’être un sportif d’élite, un homme de défis. Il a des projets, il se fixe des objectifs et il s’entraîne pour les réaliser. Comme avant. Le caractère entier de Ristori était l’un de ses atouts dans son autre vie; ça l’est plus que jamais.» Supercross 2010 A comme Killian Auberson Formé et entraîné par Philippe Dupasquier, brillant à Lyon le week-end dernier, l’espoir suisse découvre Palexpo. B comme Julien Bill Il était annoncé, il ne sera pas là. Celui qui a longtemps brillé au firmament du cross mondial traverse une crise; à ce jour, il est sans contrat en championnat du monde pour l’an prochain. L comme Livia Lancelot La Française emmènera un peloton de charme: pour la première fois en Suisse, des filles pilotes seront en démonstration. R comme Mat Rebeaud «Monsieur Freestyle» n’oublie pas que c’est à Palexpo qu’il a réussi pour la première fois, en public, un back-flip (boucle complète en arrière). R encore comme Marc Ristori Trois ans après son terrible accident, le Genevois présentera ce soir son nouveau projet, pour le moins bondissant. T comme Arnaud Tonus C’est la nouvelle star suisse; Arnaud a découvert le supercross à Paris-Bercy, il y a quelques semaines, et il y a brillé. L’an prochain, il sera un des candidats au podium final du Mondial MX2. |
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moto
DUCATI 848 EVO : cette bellissima plaira à Valentino! http://www.lematin.ch/files/imagecac...s/IMG_6128.JPG Image ©
Claude Bovey Circuit d’Imola (I) - le 03 décembre 2010, 14h11 LeMatin.ch 0 commentaires Ces derniers temps, le nom de la marque italienne est devenu incontournable. Par la grâce de qui? De Valentino Rossi, bien sûr. La star mondiale de la moto vient en effet de signer chez les «Rouges», et tout un peuple, toute une planète s’en réjouit. Vous le saviez déjà? Histoire de booster ses ventes par ce plan marketing finement concocté, la marque de Bologne continue néanmoins de produire et de créer. La nouvelle «Diavel» au look et au positionnement si particulier témoigne du dynamisme commercial de cette marque européenne. Cela contraste avec la frilosité des constructeurs japonais. Du côté des hypersportives, Ducati qui, par ailleurs, a annoncé son retrait du championnat du monde Superbike en tant que team d’usine, continue de viser la perfection pour une clientèle à vocation «sport extrême». La 1198 SP, que nous avons pu essayer l’espace d’un quart d’heure disposera de tous les derniers raffinements technologiques tels q’un système antipatinage dernière de dernière génération ainsi que de suspensions Showa haut de gamme, sans oublier le freinage exceptionnel dispensé par un équipement Brembo. La compétition en deviendrait facile… Pour la 848 EVO, le niveau de sophistication n’égale certes pas celui de son illustre aînée, mais tout de même… Le châssis est en tous points le même, celui qui fait référence en matière de maniablilité et de stabilité. Imaginez déjà l’aisance avec laquelle la 848 se pilote en tenant compte qu’elle dispose d’une inertie moindre. Avec des repose-pieds placés très en arrière, la position de condite est extrême. La selle, sprtiate coupe un peu le haut des cuisses. Ne jouons pas les chichiteux, nous somme à bord d’une d’un engin de course. Le moteur en témoigne. Le bicylindre en L Testastretta a gagné 6 ch dans sa nouvelle version et développe désormais 140 ch. à un régime relativement élevé (9750 tr/min) pour un bicylindre. Il faut donc jouer de la poignée de manière agressi afin d’atteindre l’ultime niveau des performances. La belle se montre exigente et fatigante de surcroît. Mais, on le répète, cette moto est proche d’une bête de course et, cette dernière création permet une entrée presque en douceur dans le monde Ducati… Enfin, il faut encore préciser que 80% des clients sont des nouveaux clients arrivés dans la planète «Rouge». La magie Valentino ne fait que commencer. FICHE TECHNIQUE 848 EVO Dimensions (Lxh) 2100 x 1100 mm Empattement 1430 mm Hauteur de selle 830 mm Poids 168 kg. (A sec) Réservoir 15,5 l Prix 19 990 fr. Livraison Immédiate Moteur Cylindres 2 en L à distribution desmodromique Cylindrée 849,4 cm3 Chevaux 140 à 10 500 tr/min Couple maxi 98 Nm à 9 750 tr/min Alimentation injection électronique Châssis Transmission Par chaîne, boîte de vitesses à 6 rapports Cadre Type treillis tubulaire en acier Monobrasbras oscillant Alliage d'aluminium Freins Avant 2 disques flottants de 320 mm Ø, étriers monobloc radiaux Brembo à 4 pistons Arrière 1 disque de 245 mm Ø, étrier Brembo à 2 pistons |
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Trouvé sur Eurosport...
Lorenzo et Rossi vus par Doohan http://i.eurosport.fr/2010/12/03/667...64-317-238.jpg AFP Couronné cinq fois dans l'élite de la vitesse moto, l'Australien Michael Doohan nous a donné quelques clés sur l'avenir du champion du monde 2010 Jorge Lorenzo (Yamaha Factory) et du septuple roi de la MotoGP, Valentino Rossi, parti chez Ducati MotoGP. A 45 ans, Michael Doohan coule des jours heureux dans son Queensland natal. Rangé des 500 cc (l'ancienne MotoGP) depuis un grave accident en 1999, il a managé la Honda Racing Corporation sur les Grands Prix avant de prendre définitivement du recul, en 2004. Désormais occupé à ses affaires dans l'aviation, une authentique passion qui le conduit à survoler régulièrement la Gold Coast, il revient de temps à autres sur la scène médiatique, pour un week-end de Course des champions, à Düsseldorf, en icône de la catégorie reine. Seul pilote de l'histoire avec Giacomo Agostini et Valentino Rossi à avoir aligné cinq titres majeurs (1994-98), l'as de Brisbane juge aujourd'hui les modernes avec une prudence indexée à la distance entretenue avec le Continental Circus. Pour autant, son avis reste autorisé et sa conversation un moment privilégié. Le premier sujet qui vient à l'esprit n'est pas de savoir si Jorge Lorenzo mérite son titre, mais pourquoi. Sachant que "Mick" y a déjà répondu lui-même dans le passé, en remportant 12 des 15 courses de 1997 et en terminant 2e des trois autres. L'Espagnol de la Yamaha Factory était parti sur les mêmes bases cette année avant de gérer à partir du Grand Prix des Etats-Unis, fin août. "Il a été le plus régulier, le plus rapide et a gagné la majorité des courses", note l'ancien fer de lance du HRC. "Il est fort mentalement mais nous ne verrons qu'en 2011 s'il est également techniquement fort, voire seulement en 2012. En effet, il bénéficiera l'an prochain de la continuité du travail de développement effectué par Rossi. Cependant, il fait partie de ces pilotes qui ont une bonne compréhension de la technique." Rossi change de moto mais ses hommes le suivent... Le Majorquin a quand même donné de solides garanties en se débrouillant dans son box hermétique, portant haut le Diapason en l'absence forcée de l'Italien accidenté à Mugello. Le grand Doohan est réservé sur l'équilibre des contributions, sur ce que Lorenzo fera de sa solitude. Mais pour lui, l'Ibère est capable de s'affranchir du génie transalpin sans contrecoup car il révèle bientôt le fond de sa pensée en évoquant le Rossi de la troisième époque, et les raisons qui l'ont poussé à passer de Honda à Yamaha, puis de Yamaha à Ducati : "Rossi avait-il besoin d'un nouveau challenge ? Je ne sais pas. Tout ce que je sais, c'est que Honda n'a pas fait ce qu'il fallait et que c'est pour ça qu'il est parti chez Yamaha. C'est la course. Et là, chez Yamaha, il a bien senti que Lorenzo faisait monter la pression..." Alors, Rossi a-t-il des chances de réussir chez Ducati MotoGP autant que chez ses deux précédents employeurs ? L'évidence fuse, imparable : "Vous savez, il a repris les mêmes gens pour les emporter chez Ducati. En vérité c'est la même équipe, avec une moto différente…" Au premier rang desquels l'ingénieur en chef Jeremy Burgess. Ramassé le 4 juin en Toscane avec une jambe fracturée, "The Docteur" a quand même mis huit courses pour réapprendre à gagner, en Malaisie, le 10 octobre. "Je n'estime pas que ça lui a mis du temps pour regagner une course après son retour de blessure car il a été très souvent sur le podium", coupe-t-il. Handicapé par une chute à l'entraînement en motocross en février dernier, il s'est fait opérer d'une épaule et espère être opérationnel en février prochain, pour les essais MotoGP à Sepang, en Malaisie. La GP12 concoctée par Filippo Preziosi lui conviendra-t-elle ? En fera-t-il de suite sa complice ou devra-t-il attendre le modèle 2012 ? "Il est un grand pilote et il passera outre l'adversité. Chez Yamaha, il avait rapidement surmonté les problèmes", note l'Aussie, qui ne pense pas que l'alternative du moteur - garder le big bang ou passer au screamer - soit véritablement épineuse : "Je ne sais pas quel moteur est le mieux pour lui, mais ça se joue sur des détails et il s'y adaptera." Une récession momentanée Pour en revenir à Honda HRC, la troisième force du plateau, le grand Mick ne considère pas un inconvénient d'aligner trois machines, pour Dani Pedrosa, Andrea Dovizioso et l'arrivant Casey Stoner. "Pour Honda, ce ne sera pas un problème. A mon époque, j'avais déjà deux équipiers", rapelle-t-il. Et d'insister sur le fait que son passé chez Honda et sa nationalité ne lui donnera nullement le droit de conseiller son compatriote transfuge de Ducati. Tout juste balaie-t-il du revers de la main l'hypothèse d'un avantage qu'aurait le champion du monde 2007 à retrouver Livio Suppo. "Suppo s'occupe de la partie commerciale, ça n'a pas d'impact sur ce qui se passe en piste. Pour Stoner, tout dépendra de la moto", tranche MD. Enfin, Mick Doohan ne nourrit pas d'inquiétude sur l'avenir du Mondial MotoGP, parfois réduit à 16 partants cette année. "C'est un problème mais nous avons vu ça au début des années 90, avec la récession économique mais c'est momentané, le sport s'en remettra. En faisant abstraction de ça, les courses ont été passionnantes et il ne faut pas faire trop attention à cette vision d'une grille de départ peu fournie. Nous verrons plus de motos sur la grille l'an prochain", conclut-il. Eurosport - Stéphane VRIGNAUD |
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MOTOCROSS
Supercross de Genève: Brayton vainqueur, Tonus cinquième L’Américain dominateur dans la poussière de Palexpo. Arnaud Tonus satisfait de sa première soirée. Jean-Claude Schertenleib - le 03 décembre 2010, 23h52 LeMatin.ch 0 commentaires Il y a le papa, Charly, qui est fier de son fiston. Et il y a le fiston, Arnaud Tonus, qui dit: «oui, mais j’aurais pu faire mieux. A un moment donné, je suis revenu sur Fabien Izoird et Aranda, qui se sont battus pour la troisième place, mais il n’y a rien eu à faire.» Cinquième de cette première soirée du Supercross de Genève, l’espoir du motocross suisse - qui a découvert la discipline en élite il y a deux semaines à Paris-Bercy - a rappelé de manière superbe, devant son public, qu’il était encore en phase de progression. Et un premier exploit sur ses terres pour Tonus Junior! |
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MOTOCROSS
Supercross de Genève: Tonus, le métronome Le jeune Genevois, 18 ans, aligne les manches avec une formidable régularité. Troisième de sa demi-finale, il prépare actuellement «la» course du jour. Jean-Claude Schertenleib - le 03 décembre 2010, 22h47 LeMatin.ch 0 commentaires 18 ans, 15 000 spectateurs qui attendent l’exploit de sa part, des amis et des fans qui sont venus l’encourager… et Arnaud Tonus qui reste de marbre, qui garde son calme. Son père Charly entend lui présenter un de ses copains de l’époque où c’était lui, Tonus-Senior, qui faisait rêver Palexpo, et voilà qu’Arnaud sourit et s’approche. On est pourtant qu’à quelques minutes du départ de sa demi-finale et le jeune homme est d’un calme olympien. Une vingtaine de minutes plus tard - troisième de la course -, le voici propulsé en finale, où il affrontera une armada de pilotes américains et de spécialistes français. Précision: ce n’est que le deuxième Supercross de la carrière du jeune espoir! |
Re : Informations en Vrack
Supercross
03 décembre 2010 21:46; Act: 03.12.2010 22:09 Print http://www.forum-motogp.com/dyft/aa3...une%20moto.pngMarc Ristori est remonté sur une moto par Jacqueline Favez - Le champion, paraplégique depuis trois ans après son grave accident lors du Supercross de Genève, a réalisé un incroyable exploit, qu'il qualifie de défi sportif et humain. http://www.20min.ch/diashow/34280/ca...ce7da6b221.jpg http://www.20min.ch/diashow/34280/ca...9dfcad36c4.jpg http://www.20min.ch/diashow/34280/ca...365ad3e6fa.jpg 1|13 Bildstrecke nochmals anschauen Lecteur reporter C’est sans doute la plus belle chose qu’on pouvait lui souhaiter: Marc Ristori est remonté sur une moto, moins de trois ans après avoir été grièvement blessé lors du Supercross de Genève, un accident qui l’a laissé paraplégique. Le champion a pris la piste cet automne, en compagnie de ses potes crossmen Mat Rebeaud et Arnaud Tonus. Une journée qui a été immortalisée dans un court-métrage, présenté vendredi soir à la presse, dans le cadre du Supercross. «Ca faisait longtemps que je n’avais pas eu les larmes aux yeux en regardant un film», a commenté Mat Rebeaud, présent en salle de presse, en écho à l’émotion de Marc Ristori. Le Genevois n’a pas caché à quel point il lui coûtait de revenir, en simple spectateur, humer l’arène de Palexpo, lui qui a disputé son premier Supercross de Genève à l’âge de 13 ans. Pour se «relever» Refaire de la moto était pour lui une manière de montrer que son accident n’aura été qu’une étape dans sa vie. «C’est ma façon de me relever» a-t-il expliqué. Et aussi, de répondre à une attente très forte de ses fans, qui le pressaient depuis des mois pour savoir si, et quand, il allait reprendre le guidon. Pour arriver à cette fameuse journée, il a fallu de longs mois de préparation de sa monture: arceau en titane pour le protéger des chocs, selle spéciale anti-escarres pour éviter qu’il ne se blesse, démarreur électrique, vitesses au guidon, rien n’a été laissé au hasard. «Le but, c’était de remonter, d’aller à mon rythme. La vitesse, le niveau, ce n’était pas important. Ce qui compte, c’est d’avancer.» Un défi à la hauteur de la force mentale exceptionnelle de ce champion et un exploit physique à la hauteur de l’entraînement intensif qu’il s’impose depuis son accident, «pour me préserver au maximum», explique-t-il. Mais le Genevois n’envisage d’aucune sorte un retour à la compétition. Même si sa moto est «dans les starting-blocks», elle risque de ne servir qu’une ou deux fois par année, pour «être avec les gars», comme lors de sa première sortie. Le film sera diffusé samedi soir sur TSR2, dans le cadre du direct consacré au Supercross de Genève. Il sera ensuite mis en ligne sur internet. Retrouvez-le sur «20 minutes online» dès qu’il sera disponible. |
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Il n'a jamais rien laché,il a toujours dit que son rêve était de pouvoir remonter sur une moto et il le fait.:prie::prie::prie: |
| Fuseau horaire GMT +1. Il est actuellement 20h13. |
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