Un heureux, Vermeulen, un beaucoup moins, c'est Byrne: il croisait les doigts comme un dingue pour pouvoir continuer à rouler sur la Honda Pons.
Dommage pour lui, ses piètres performances en Malaisie et au Qatar n'ont pas joué en sa faveur et à lui de faire maintenant au mieux (avec l'énorme soutien de la chaîne anglaise BBC) pour espérer trouver un guidon en MotoGP l'an prochain.